Les professionnels de la filière des semences ont convoqué Samedi dernier à Kaolack, une assemblée générale constitutive en vue de mettre prochainement en place une fédération nationale qui sera intitulé prochainement fédération nationale des professionnels semenciers du Sénégal (FNPSS), et qui puisse aussi regrouper l’ensemble des structures et organisations en activité dans la filière.
D’une part c’est pour sauver une filière en pas vers la mort et qui a besoin d’une résurrection certaine et de l’autre pour relever le défi de la production à tous les niveaux de variétés connues. L’idée dans tout cela est de développer un partenariat secteur public / secteur privé qui puisse jouer un rôle de plaidoyer pointu, amenant plutart les bailleurs et l’Etat à revoir le secteur semencier et apporter les facteurs conformes à sa relance.
Pour Amadou Moustapha Djigo, président du comité de pilotage des responsables du projet de mise en place de la fédération nationale des professionnels semenciers du Sénégal « il faut que les gens soient conscients qu’avec la poussée démographique et les autres facteurs en freinage à la montée de la production, le Sénégal serait toujours déficitaire au point de vue rendement. Depuis une dizaine d’années, il est interdit de parler de semences certifiées au Sénégal.
Aujourd’hui notre pays ne dispose même pas de 3000 tonnes, ce qui est d’une gravité extrême pour l’agriculture. Et pour cette raison, nous estimons qu’il devient aujourd’hui une priorité de réunir l’ensemble des forces autour de cette question fondamentale pour l’avenir de notre pays. Concernant cependant notre organisation, nous préconisons nouer dans ce sens des partenariats avec d’autres organisations et cadres techniques pour une relance durable de la filière semence au Sénégal » a-t-il indiqué.
Abdoulaye FALL
Sud Quotidien
D’une part c’est pour sauver une filière en pas vers la mort et qui a besoin d’une résurrection certaine et de l’autre pour relever le défi de la production à tous les niveaux de variétés connues. L’idée dans tout cela est de développer un partenariat secteur public / secteur privé qui puisse jouer un rôle de plaidoyer pointu, amenant plutart les bailleurs et l’Etat à revoir le secteur semencier et apporter les facteurs conformes à sa relance.
Pour Amadou Moustapha Djigo, président du comité de pilotage des responsables du projet de mise en place de la fédération nationale des professionnels semenciers du Sénégal « il faut que les gens soient conscients qu’avec la poussée démographique et les autres facteurs en freinage à la montée de la production, le Sénégal serait toujours déficitaire au point de vue rendement. Depuis une dizaine d’années, il est interdit de parler de semences certifiées au Sénégal.
Aujourd’hui notre pays ne dispose même pas de 3000 tonnes, ce qui est d’une gravité extrême pour l’agriculture. Et pour cette raison, nous estimons qu’il devient aujourd’hui une priorité de réunir l’ensemble des forces autour de cette question fondamentale pour l’avenir de notre pays. Concernant cependant notre organisation, nous préconisons nouer dans ce sens des partenariats avec d’autres organisations et cadres techniques pour une relance durable de la filière semence au Sénégal » a-t-il indiqué.
Abdoulaye FALL
Sud Quotidien