Près d’un millier de femmes de la communauté rurale de Latmingué, organisées autour d’une centaine de groupements d’intérêt économique localisés dans 83 villages, se sont lancées dans la Goana 2009
C’est une véritable révolution en douceur qui est en train de s’opérer dans la communauté rurale de Latmingué, avec les femmes de cette localité qui, dans le cadre de la Goana, exploitent cette année une centaine de champs collectifs. Un tour à travers les exploitations des femmes de Latmingué, de Daga Youndoum à Koylane en passant par Keur Mamour Lô, Ndionguène, Nawdourou et Keur Ablaye Débo, entre autres, aura permis de se rendre compte des louables efforts consentis par ces groupements de femmes qui se sont investis aussi bien dans les cultures vivrières que de rente. Avec comme parrain le député El hadj Malick Guèye qui les a appuyés en semences et en intrants, sans compter l’apport financier qui leur a permis d’effectuer dans de bonnes conditions les travaux préparatoires au niveau des champs. Toutes les spéculations sont ciblées par les femmes de Latmingué. Outre l’arachide, cela va du sorgho au mais, en passant par les anacardiers, les ignames, le mil souna et les manguiers, autant d’espèces ciblées dans la Goana par le président de la République. Pour la présidente des femmes de Latmingué, Madame Binta Gningue, cette initiative est une chance pour les populations du monde rural, mais également pour tout citoyen conscient du devenir de pays et désireux de participer à l’œuvre d’autosuffisance alimentaire et, partant, au développement du pays. Selon elle, si cette entreprise des femmes au niveau des 83 villages de la communauté rurale de Latmingué a été possible, c’est grâce à l’appui déterminant d’El hadj Malick Guèye, responsable politique et député à l’Assemblée nationale. A noter que ce dernier ne s’est pas limité à impulser les activités des femmes du département. Il a, en effet, donné l’exemple en mettant en exploitation une soixantaine d’hectares répartis entre les cultures vivrières et des plantations fruitières.
Le Soleil
C’est une véritable révolution en douceur qui est en train de s’opérer dans la communauté rurale de Latmingué, avec les femmes de cette localité qui, dans le cadre de la Goana, exploitent cette année une centaine de champs collectifs. Un tour à travers les exploitations des femmes de Latmingué, de Daga Youndoum à Koylane en passant par Keur Mamour Lô, Ndionguène, Nawdourou et Keur Ablaye Débo, entre autres, aura permis de se rendre compte des louables efforts consentis par ces groupements de femmes qui se sont investis aussi bien dans les cultures vivrières que de rente. Avec comme parrain le député El hadj Malick Guèye qui les a appuyés en semences et en intrants, sans compter l’apport financier qui leur a permis d’effectuer dans de bonnes conditions les travaux préparatoires au niveau des champs. Toutes les spéculations sont ciblées par les femmes de Latmingué. Outre l’arachide, cela va du sorgho au mais, en passant par les anacardiers, les ignames, le mil souna et les manguiers, autant d’espèces ciblées dans la Goana par le président de la République. Pour la présidente des femmes de Latmingué, Madame Binta Gningue, cette initiative est une chance pour les populations du monde rural, mais également pour tout citoyen conscient du devenir de pays et désireux de participer à l’œuvre d’autosuffisance alimentaire et, partant, au développement du pays. Selon elle, si cette entreprise des femmes au niveau des 83 villages de la communauté rurale de Latmingué a été possible, c’est grâce à l’appui déterminant d’El hadj Malick Guèye, responsable politique et député à l’Assemblée nationale. A noter que ce dernier ne s’est pas limité à impulser les activités des femmes du département. Il a, en effet, donné l’exemple en mettant en exploitation une soixantaine d’hectares répartis entre les cultures vivrières et des plantations fruitières.
Le Soleil