L’Etat sénégalais a entamé depuis près de 10 ans une réforme du sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement. Après les deux premières réformes, la troisième dite « réforme de la troisième génération » a été initiée par les autorités sénégalaises.
C’est à cet effet que l’Amicale des cadres des sociétés d’eau (Acase a organisé samedi dernier, un atelier au centre aéré de la Bceao à Yoff. Cet atelier constituait, ainsi, un cadre de réflexion, pour les membres de l’Acase, sur les enjeux de la réforme de troisième génération du sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement.
Mais aussi de définir sa propre stratégie (interne et externe) pour apporter sa contribution et aider à la prise de décision. Selon Aboudou Niang, président de l’Acase, l’Amicale veut jouer sa partition dans les différents scénarios de la réforme institutionnelle de ce sous-secteur.
Oumar Sarr, ministre de l’Urbanisme, de l’habitat, de l’hydraulique urbaine, de l’hygiène publique et l’assainissement, qui présidait cet atelier, a rappelé le nombre de villes assainies qui selon lui, de cinq a quasiment doubler. Et d’ajouter, « nous avons toutes les raisons d’être satisfait de ce que l’on a aujourd’hui. Mais je pense que l’Acase a bien fait d’initier cet atelier qui vient à point nommé ».
Le ministre d’Etat, affirme que « le partenariat public-privé est la clé de voûte de ce sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement ». Mohamed Fadel Ndao, Coordonnateur du programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire (Pepam), a souligné les enjeux majeurs de la réforme de la 3èmé génération qui sont : le renouvellement des réseaux de Dakar « vétustes » ; l’arrangement institutionnel ; la mobilisation des ressources en eaux ; le maintien de l’équilibre financier du secteur, etc.
Il poursuit son allocution en faisant le rappel des performances du sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement au cours des dix dernières années. En 10 ans, explique-t-il, « 100 milliards de Fcfa d’investissement ont été consentis pour augmenter la qualité des eaux potables.
En 13 ans, le nombre d’abonnés de la Sde a augmenté de 93%, c’est-à-dire de 254 000 abonnés à 484 000 abonnés. 145 000 branchements sociaux ont été effectués en 13 ans. 260 milliards d’investissement, soit 20 milliards d’investissement par an. Ces financements proviennent à la fois de l’étranger mais aussi du Sénégal. Ce qui prouve que ce sous-secteur est toujours attractif ».
Sud Quotidien
C’est à cet effet que l’Amicale des cadres des sociétés d’eau (Acase a organisé samedi dernier, un atelier au centre aéré de la Bceao à Yoff. Cet atelier constituait, ainsi, un cadre de réflexion, pour les membres de l’Acase, sur les enjeux de la réforme de troisième génération du sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement.
Mais aussi de définir sa propre stratégie (interne et externe) pour apporter sa contribution et aider à la prise de décision. Selon Aboudou Niang, président de l’Acase, l’Amicale veut jouer sa partition dans les différents scénarios de la réforme institutionnelle de ce sous-secteur.
Oumar Sarr, ministre de l’Urbanisme, de l’habitat, de l’hydraulique urbaine, de l’hygiène publique et l’assainissement, qui présidait cet atelier, a rappelé le nombre de villes assainies qui selon lui, de cinq a quasiment doubler. Et d’ajouter, « nous avons toutes les raisons d’être satisfait de ce que l’on a aujourd’hui. Mais je pense que l’Acase a bien fait d’initier cet atelier qui vient à point nommé ».
Le ministre d’Etat, affirme que « le partenariat public-privé est la clé de voûte de ce sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement ». Mohamed Fadel Ndao, Coordonnateur du programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire (Pepam), a souligné les enjeux majeurs de la réforme de la 3èmé génération qui sont : le renouvellement des réseaux de Dakar « vétustes » ; l’arrangement institutionnel ; la mobilisation des ressources en eaux ; le maintien de l’équilibre financier du secteur, etc.
Il poursuit son allocution en faisant le rappel des performances du sous-secteur de l’hydraulique urbaine et de l’assainissement au cours des dix dernières années. En 10 ans, explique-t-il, « 100 milliards de Fcfa d’investissement ont été consentis pour augmenter la qualité des eaux potables.
En 13 ans, le nombre d’abonnés de la Sde a augmenté de 93%, c’est-à-dire de 254 000 abonnés à 484 000 abonnés. 145 000 branchements sociaux ont été effectués en 13 ans. 260 milliards d’investissement, soit 20 milliards d’investissement par an. Ces financements proviennent à la fois de l’étranger mais aussi du Sénégal. Ce qui prouve que ce sous-secteur est toujours attractif ».
Sud Quotidien