Tambacounda, 30 janv (APS) - La Direction de la pêche continentale a envoyé un cabinet d’études pour identifier des microprojets à même de booster la production de poisson dans la région de Tambacounda, qui bien qu’elle soit dotée d’un réseau hydrographique dense, enregistre des captures à une échelle encore réduite.
Selon le chef du service régional de la pêche et de la surveillance Elhadji Thiam, un cabinet d’études envoyé par la Direction de la pêche continentale est ‘’en train d’identifier des microprojets à réaliser pour booster cette production-là’’.
Le cabinet se penche aussi sur le possible dragage de certaines mares, la construction de digues de protection et d’une berge sur le fleuve Sénégal à Bakel.
Notant que ‘’la région de Tambacounda dispose d’un réseau hydrographique dense, une faune physiologique variée où l’on observe beaucoup d’espèces de poisson’’, M. Thiam a indiqué que ces conditions constituent des ‘’prédispositions au développement de la pêche continentale et de la pisciculture’’.
La pêche est pratiquée dans le département de Bakel dans le fleuve Sénégal et la Falémé qui est le plus grand affluent de ce cours d’eau, a-t-il dit, lors d’une visite de presse d’un complexe frigorifique en construction à Tambacounda.
Le fleuve Gambie qui arrose la région est également une zone de pêche, ainsi que les mares de l’arrondissement de Missirah, dont certaines, alimentées en période de crue par l’intermédiaire d’un canal, sont pérennes.
Par ailleurs, vu le développement du transport fluvial entre le Sénégal, la Mauritanie et le Mali, le ministère de la Pêche avait initié des programmes de renforcement de capacité, visant à sensibiliser les acteurs sur le volet sécurité. Quelque 110 gilets de sauvetage avaient a été remis dans ce cadre aux pêcheurs de Bakel.
BC/ADI/SAB
Selon le chef du service régional de la pêche et de la surveillance Elhadji Thiam, un cabinet d’études envoyé par la Direction de la pêche continentale est ‘’en train d’identifier des microprojets à réaliser pour booster cette production-là’’.
Le cabinet se penche aussi sur le possible dragage de certaines mares, la construction de digues de protection et d’une berge sur le fleuve Sénégal à Bakel.
Notant que ‘’la région de Tambacounda dispose d’un réseau hydrographique dense, une faune physiologique variée où l’on observe beaucoup d’espèces de poisson’’, M. Thiam a indiqué que ces conditions constituent des ‘’prédispositions au développement de la pêche continentale et de la pisciculture’’.
La pêche est pratiquée dans le département de Bakel dans le fleuve Sénégal et la Falémé qui est le plus grand affluent de ce cours d’eau, a-t-il dit, lors d’une visite de presse d’un complexe frigorifique en construction à Tambacounda.
Le fleuve Gambie qui arrose la région est également une zone de pêche, ainsi que les mares de l’arrondissement de Missirah, dont certaines, alimentées en période de crue par l’intermédiaire d’un canal, sont pérennes.
Par ailleurs, vu le développement du transport fluvial entre le Sénégal, la Mauritanie et le Mali, le ministère de la Pêche avait initié des programmes de renforcement de capacité, visant à sensibiliser les acteurs sur le volet sécurité. Quelque 110 gilets de sauvetage avaient a été remis dans ce cadre aux pêcheurs de Bakel.
BC/ADI/SAB