Dakar, 6 août (APS) - Le Fonds des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a appelé mardi à "exploiter le potentiel de l'agriculture pour atténuer le réchauffement de la planète", et cela, compte du tenu des "effets de plus en plus manifestes du changement climatique sur les systèmes de production vivrière".
L’organisme onusien a lancé cet appel dans un document d’orientation intitulé "National integrated mitigation planning in agriculture" et publié par le Programme sur l'atténuation du changement climatique dans l'agriculture (MICCA).
La FAO estime que "l'agriculture est directement responsable de plus de 10 pour cent de toutes les émissions de gaz à effet de serre (GES) dues à l'homme".
Elle estime que de "meilleures pratiques agricoles offrent la possibilité de réduire ces émissions et de piéger le carbone de l'atmosphère tout en renforçant la résilience des systèmes de production".
L’organisation signale que "les progrès réalisés dans les plans d'atténuation des émissions de GES agricoles – ainsi que dans l'allocation de financements aux projets visant à affronter les effets du changement climatique dans le secteur agricole – ne sont pas à la hauteur des exigences".
"Le nouveau document d'orientation a pour vocation d'affronter ces lacunes en offrant des conseils pas-à-pas et des exemples de plans nationaux d'atténuation des GES dans les systèmes de production vivrière, tout en soulignant les opportunités existant pour les pays en développement d'obtenir des mécanismes de financement climatique pour l'agriculture", explique la FAO.
ASG/ESF
L’organisme onusien a lancé cet appel dans un document d’orientation intitulé "National integrated mitigation planning in agriculture" et publié par le Programme sur l'atténuation du changement climatique dans l'agriculture (MICCA).
La FAO estime que "l'agriculture est directement responsable de plus de 10 pour cent de toutes les émissions de gaz à effet de serre (GES) dues à l'homme".
Elle estime que de "meilleures pratiques agricoles offrent la possibilité de réduire ces émissions et de piéger le carbone de l'atmosphère tout en renforçant la résilience des systèmes de production".
L’organisation signale que "les progrès réalisés dans les plans d'atténuation des émissions de GES agricoles – ainsi que dans l'allocation de financements aux projets visant à affronter les effets du changement climatique dans le secteur agricole – ne sont pas à la hauteur des exigences".
"Le nouveau document d'orientation a pour vocation d'affronter ces lacunes en offrant des conseils pas-à-pas et des exemples de plans nationaux d'atténuation des GES dans les systèmes de production vivrière, tout en soulignant les opportunités existant pour les pays en développement d'obtenir des mécanismes de financement climatique pour l'agriculture", explique la FAO.
ASG/ESF