Dakar, 31 jan (APS) – L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) réitère, dans un rapport transmis lundi à l’APS, l’exigence d’une gestion durable des ressources aquatiques.
‘’La demande croissante de poisson souligne l’exigence d’une gestion durable des ressources aquatiques’’, écrit la FAO dans un rapport sur ‘’la situation mondiale des pêches et de l’aquaculture’’ en 2010.
Cette étude ‘’préconise une approche écosystémique des pêches, c’est-à-dire une approche intégrée conjuguant les objectifs de la société et la situation des ressources halieutiques et de leur environnement naturel et humain’’.
‘’Les politiques aquicoles de l’Asie du Sud-Est – où le poisson est un élément fondamental de l’alimentation - sont un bon exemple de gestion équilibrée’’, fait remarquer la FAO.
En outre, elle ‘’loue les progrès des interventions gouvernementales mettant à profit les avantages comparatifs et les incitations économiques qui portent à la croissance, à la sécurité alimentaire et à de meilleures conditions de vie’’.
La FAO relève que ‘’les pêches continentales [sont] souvent laissées pour compte par les décideurs’’.
‘’La planification des périmètres d’irrigation et des installations hydroélectriques néglige parfois de considérer l’impact sur les moyens d’existence des pêcheurs. Et pourtant, la pêche continentale fait vivre 61 millions de personnes dans le monde’’, souligne le document.
La production mondiale de poisson et de produits de la pêche est passée de 140 millions de tonnes en 2007 à 145 millions de tonnes en 2009, rappelle l’étude. Elle ajoute qu’une ‘’grande partie’’ de cette quantité est assurée par l’aquaculture, avec une croissance annuelle, de près de sept pour cent.
ESF/AD
‘’La demande croissante de poisson souligne l’exigence d’une gestion durable des ressources aquatiques’’, écrit la FAO dans un rapport sur ‘’la situation mondiale des pêches et de l’aquaculture’’ en 2010.
Cette étude ‘’préconise une approche écosystémique des pêches, c’est-à-dire une approche intégrée conjuguant les objectifs de la société et la situation des ressources halieutiques et de leur environnement naturel et humain’’.
‘’Les politiques aquicoles de l’Asie du Sud-Est – où le poisson est un élément fondamental de l’alimentation - sont un bon exemple de gestion équilibrée’’, fait remarquer la FAO.
En outre, elle ‘’loue les progrès des interventions gouvernementales mettant à profit les avantages comparatifs et les incitations économiques qui portent à la croissance, à la sécurité alimentaire et à de meilleures conditions de vie’’.
La FAO relève que ‘’les pêches continentales [sont] souvent laissées pour compte par les décideurs’’.
‘’La planification des périmètres d’irrigation et des installations hydroélectriques néglige parfois de considérer l’impact sur les moyens d’existence des pêcheurs. Et pourtant, la pêche continentale fait vivre 61 millions de personnes dans le monde’’, souligne le document.
La production mondiale de poisson et de produits de la pêche est passée de 140 millions de tonnes en 2007 à 145 millions de tonnes en 2009, rappelle l’étude. Elle ajoute qu’une ‘’grande partie’’ de cette quantité est assurée par l’aquaculture, avec une croissance annuelle, de près de sept pour cent.
ESF/AD