Dakar, 21 mars (APS) – La Fédération nationale des acteurs de la filière pêche (FENAFIP) du Burkina Faso entend partager son expérience en matière d’organisation et de conservation des produits halieutiques, avec les autres membres de la Confédération africaines des organisations de la pêche artisanale (CAOPA), a indiqué son président El hadji Souleymane Ouédraogo.
‘’Nous comptons faire profiter aux autres pays africains de notre expérience, puisque notre fédération est une organisation impressionnante qui a fait sa notoriété au-delà de nos frontières’’, a dit M. Ouédraogo dans un entretien paru dans le dernier numéro du mensuel d’informations agricoles et rurales ‘’Agri-Infos’’.
‘’On peut aller chercher le poisson par la route sur plus de 2000 km sans craindre que cela ne pourrisse. En matière de conservation, nous nous illustrons comme modèle’’, a-t-il expliqué.
Il a indiqué que ‘’beaucoup de délégations’’ de pays africains viennent s’inspirer de l’expérience de son pays. Il s’agit notamment du Sénégal, du Mali, du Cameroun, du Ghana, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, a-t-il précisé.
‘’Tous ont été émerveillés par ce qu’ils ont pu constater sur place’’, a relevé M. Ouédraogo qui cite en exemple les techniques de conservation innovantes de la FENAPIP, grâce auxquelles on peut garder au frais le poisson pendant une vingtaine de jours.
La Fédération a aussi confectionné de manière artisanale des caisses d’une capacité de 100 à 150 barres de glaces, a-t-il signalé. Grâce à ces caisses, a-t-il souligné, on peut conserver le poisson à l’état frais sans aucune perte.
Ainsi, après la visite de la délégation malienne à Ouagadougou, des mareyeurs de ce pays se rendus au Burkina Faso pour être formés suivant les techniques de conservation de la FENAPIP, a-t-il indiqué.
Toutefois, El hadji Souleymane Ouédraogo compte aussi avec sa fédération profiter de l’expertise de certains pays en matière de pisciculture, avec ‘’l’instauration d’un vrai partenariat avec les acteurs de la pêche des pays membres de la CAOPA.
Créée en 1995, la Fédération nationale des acteurs de la filière pêche du Burkina vient d’adhérer à la Confédération africaine des organisations de la pêche artisanale.
ADL/ASG
‘’Nous comptons faire profiter aux autres pays africains de notre expérience, puisque notre fédération est une organisation impressionnante qui a fait sa notoriété au-delà de nos frontières’’, a dit M. Ouédraogo dans un entretien paru dans le dernier numéro du mensuel d’informations agricoles et rurales ‘’Agri-Infos’’.
‘’On peut aller chercher le poisson par la route sur plus de 2000 km sans craindre que cela ne pourrisse. En matière de conservation, nous nous illustrons comme modèle’’, a-t-il expliqué.
Il a indiqué que ‘’beaucoup de délégations’’ de pays africains viennent s’inspirer de l’expérience de son pays. Il s’agit notamment du Sénégal, du Mali, du Cameroun, du Ghana, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, a-t-il précisé.
‘’Tous ont été émerveillés par ce qu’ils ont pu constater sur place’’, a relevé M. Ouédraogo qui cite en exemple les techniques de conservation innovantes de la FENAPIP, grâce auxquelles on peut garder au frais le poisson pendant une vingtaine de jours.
La Fédération a aussi confectionné de manière artisanale des caisses d’une capacité de 100 à 150 barres de glaces, a-t-il signalé. Grâce à ces caisses, a-t-il souligné, on peut conserver le poisson à l’état frais sans aucune perte.
Ainsi, après la visite de la délégation malienne à Ouagadougou, des mareyeurs de ce pays se rendus au Burkina Faso pour être formés suivant les techniques de conservation de la FENAPIP, a-t-il indiqué.
Toutefois, El hadji Souleymane Ouédraogo compte aussi avec sa fédération profiter de l’expertise de certains pays en matière de pisciculture, avec ‘’l’instauration d’un vrai partenariat avec les acteurs de la pêche des pays membres de la CAOPA.
Créée en 1995, la Fédération nationale des acteurs de la filière pêche du Burkina vient d’adhérer à la Confédération africaine des organisations de la pêche artisanale.
ADL/ASG