Dakar, 29 juil (APS) - Le directeur de l’Institut de technologie alimentaire (ITA), Ababacar Sadikh Ndoye, a mis en exergue, mercredi à Dakar, le rôle de la recherche dans la valorisation des produits agricoles locaux.
‘’L’ITA veut favoriser la création de valeur ajoutée sur les produits agricoles mais cette valorisation ne peut se faire sans recherche’’ a-t-il notamment indiqué lors de l’atelier national de lancement de la Politique de transformation alimentaire des produits agricoles.
La rencontre était présidée par Me Ousmane Ngom, ministre des Mines, de l’Industrie, de la Transformation alimentaire des produits agricoles et des PME.
‘’Outre la valorisation des produits, l’ITA accompagne les entreprises (PME, PMI) dans le contrôle de qualité mais aussi dans le transfert des acquis de recherche’’ a ajouté M. Ndoye.
Pour mieux accompagner les promoteurs, a-t-il expliqué, ‘’nous avons commencé à construire un centre de formation aux métiers de l’alimentation car nous avons noté que la formation, de nos jours, se faisait par le secteur informel’’.
Grâce à GTZ (agence de coopération allemande), quelque 1.500 boulangers ont déjà été formés dans la préparation du pain à base de farine composée (mais, mil, patate douce, etc.).
‘’Nous avons mis en place dans les boulangeries des kits venant du Brésil qui utilisent du bio combustibles (coques d’arachides, noix d’acajous)’’, a-t-il rappelé.
Selon lui, l’utilisation de combustibles permet de réaliser ‘’une économie de 50% sur le coût de l’électricité’’.
Dans le domaine de l’exportation, a-t-il indiqué, l’ITA a réussi à mettre sur le marché la poudre de bissap instantané, utilisée au Japon dans la fabrication de glaces mais aussi le café-Touba utilisé en Europe et en Amérique.
L’Institut de technologie alimentaire a permis la formation des femmes de l’Association des opérateurs de l’agro-alimentaire de Diourbel (AOAAD).
‘’Nous avons commencé à travailler avec l’ITA depuis 2004. L’institut nous a formés dans les techniques de transformation agro-alimentaire’’, a confié expliqué Ndèye Marième Mbacké, la présidente de cette association.
Elle compte 560 femmes dans le domaine de l’agro-alimentaire et 180 femmes qui travaillent dans la transformation des légumes et des céréales.
La vision du ministère que dirige Me Ousmane Ngom est ‘’développer, diversifier, augmenter les produits de l’industrie agroalimentaire pour la création d’activités génératrices de revenus pour les femmes’’, a expliqué Dr Maïmouna Cissé, directrice de la transformation alimentaire
‘’L’ITA veut favoriser la création de valeur ajoutée sur les produits agricoles mais cette valorisation ne peut se faire sans recherche’’ a-t-il notamment indiqué lors de l’atelier national de lancement de la Politique de transformation alimentaire des produits agricoles.
La rencontre était présidée par Me Ousmane Ngom, ministre des Mines, de l’Industrie, de la Transformation alimentaire des produits agricoles et des PME.
‘’Outre la valorisation des produits, l’ITA accompagne les entreprises (PME, PMI) dans le contrôle de qualité mais aussi dans le transfert des acquis de recherche’’ a ajouté M. Ndoye.
Pour mieux accompagner les promoteurs, a-t-il expliqué, ‘’nous avons commencé à construire un centre de formation aux métiers de l’alimentation car nous avons noté que la formation, de nos jours, se faisait par le secteur informel’’.
Grâce à GTZ (agence de coopération allemande), quelque 1.500 boulangers ont déjà été formés dans la préparation du pain à base de farine composée (mais, mil, patate douce, etc.).
‘’Nous avons mis en place dans les boulangeries des kits venant du Brésil qui utilisent du bio combustibles (coques d’arachides, noix d’acajous)’’, a-t-il rappelé.
Selon lui, l’utilisation de combustibles permet de réaliser ‘’une économie de 50% sur le coût de l’électricité’’.
Dans le domaine de l’exportation, a-t-il indiqué, l’ITA a réussi à mettre sur le marché la poudre de bissap instantané, utilisée au Japon dans la fabrication de glaces mais aussi le café-Touba utilisé en Europe et en Amérique.
L’Institut de technologie alimentaire a permis la formation des femmes de l’Association des opérateurs de l’agro-alimentaire de Diourbel (AOAAD).
‘’Nous avons commencé à travailler avec l’ITA depuis 2004. L’institut nous a formés dans les techniques de transformation agro-alimentaire’’, a confié expliqué Ndèye Marième Mbacké, la présidente de cette association.
Elle compte 560 femmes dans le domaine de l’agro-alimentaire et 180 femmes qui travaillent dans la transformation des légumes et des céréales.
La vision du ministère que dirige Me Ousmane Ngom est ‘’développer, diversifier, augmenter les produits de l’industrie agroalimentaire pour la création d’activités génératrices de revenus pour les femmes’’, a expliqué Dr Maïmouna Cissé, directrice de la transformation alimentaire