Saint-Louis, 9 avr (APS) - Le directeur général de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta du Fleuve Sénégal (SAED) Mamoudou Dème a rassuré, jeudi à Saint-Louis, les producteurs de tomates quant à la possibilité d’écouler leur production qui atteint cette année 90.000 tonnes, un niveau record.
S’exprimant face à la presse, peu avant une rencontre avec le gouverneur de Saint-Louis, a jugé cependant normal les inquiétudes exprimées par les producteurs face aux risques de mévente encourus par la production de cette année. Les deux années cumulées, la production en tomates de cette région ne dépassait pas les 50.000 tonnes.
La rencontre entre le DG de la SAED et le gouverneur de Saint-Louis portait justement sur les craintes des producteurs de la zone de la vallée, qui ont à l’occasion alerté les autorités sur la question.
M. Dème a tenu à rassurer les producteurs face à ce qu’il a qualifié de ‘’tension’’ favorisée par les conditions climatiques, avec une certaine fraîcheur qui allonge le cycle avec un chevauchement dans les périmètres irrigués.
Ce problème sera bien géré, a assuré le DG de la SAED qui a annoncé que des camions ont été positionnés pour s’acquitter du transport de cette production et éviter son pourrissement entre les mains des producteurs confrontés également à la faible capacité de stockage des deux usines de la SOCAS et de Dagana.
S’exprimant face à la presse, peu avant une rencontre avec le gouverneur de Saint-Louis, a jugé cependant normal les inquiétudes exprimées par les producteurs face aux risques de mévente encourus par la production de cette année. Les deux années cumulées, la production en tomates de cette région ne dépassait pas les 50.000 tonnes.
La rencontre entre le DG de la SAED et le gouverneur de Saint-Louis portait justement sur les craintes des producteurs de la zone de la vallée, qui ont à l’occasion alerté les autorités sur la question.
M. Dème a tenu à rassurer les producteurs face à ce qu’il a qualifié de ‘’tension’’ favorisée par les conditions climatiques, avec une certaine fraîcheur qui allonge le cycle avec un chevauchement dans les périmètres irrigués.
Ce problème sera bien géré, a assuré le DG de la SAED qui a annoncé que des camions ont été positionnés pour s’acquitter du transport de cette production et éviter son pourrissement entre les mains des producteurs confrontés également à la faible capacité de stockage des deux usines de la SOCAS et de Dagana.