Médina Yéro Foula (Kolda), 21 fév (APS) - L’implication des populations dans la gestion des affaires publiques est une priorité pour le conseil rural de Bourouko dans la région de Kolda, a confié à l’APS Ahmady Sow, son président.
Cette nouvelle communauté rurale du département de Médina Yoro Foulah vient d’expérimenter le budget participatif par l’implication en aval comme en amont des populations dans le processus d’élaboration du budget de la collectivité locale qui s’élève à prés de 100 millions de francs répartis pour l’année en cours.
Quelque 16.642.000FCFA seront consacrés au fonctionnement, tandis que les investissements mobiliseront 77.000.030 de francs.
Par des réunions populaires, le président du conseil rural et son équipe ont réussi à mobiliser toutes les ressources humaines pour le recouvrement de la taxe rurale qui s’élève aujourd’hui à 62%, a indiqué Ahmady Sow.
Il a souligné que cette performance a été rendue possible par la responsabilisation des populations par le conseil rural, relevant que celles-ci ont participé aux différents processus de mise en place du budget de la collectivité locale.
‘’Les populations ont dégagé leurs priorités à l’occasion des assemblées de quartiers ou de villages qui sont des rencontres d’échanges entre habitants de la contrée. Partir de la base pour remonter les données ou besoins des populations est une expérience qui nous permet de mieux gouverner’’, a confié le président du conseil rural.
La santé, l’éducation et l’hydraulique restent les priorités du moment. Ce qui fait dire au président du conseil rural que ‘’la répartition du budget d’investissement dans ces domaines est déséquilibré’’.
Un déséquilibre qu’Ahmady Sow justifie par l’urgence prioritaire de la question de l’eau qui pose un véritable problème dans l’ensemble des 59 villages que polarise la communauté rurale.
Sur les 77.000.030 de francs alloués à l’investissement, l’hydraulique engloutit 29.000.500 pour l’exercice en cours.
Cette nouvelle communauté rurale du département de Médina Yoro Foulah vient d’expérimenter le budget participatif par l’implication en aval comme en amont des populations dans le processus d’élaboration du budget de la collectivité locale qui s’élève à prés de 100 millions de francs répartis pour l’année en cours.
Quelque 16.642.000FCFA seront consacrés au fonctionnement, tandis que les investissements mobiliseront 77.000.030 de francs.
Par des réunions populaires, le président du conseil rural et son équipe ont réussi à mobiliser toutes les ressources humaines pour le recouvrement de la taxe rurale qui s’élève aujourd’hui à 62%, a indiqué Ahmady Sow.
Il a souligné que cette performance a été rendue possible par la responsabilisation des populations par le conseil rural, relevant que celles-ci ont participé aux différents processus de mise en place du budget de la collectivité locale.
‘’Les populations ont dégagé leurs priorités à l’occasion des assemblées de quartiers ou de villages qui sont des rencontres d’échanges entre habitants de la contrée. Partir de la base pour remonter les données ou besoins des populations est une expérience qui nous permet de mieux gouverner’’, a confié le président du conseil rural.
La santé, l’éducation et l’hydraulique restent les priorités du moment. Ce qui fait dire au président du conseil rural que ‘’la répartition du budget d’investissement dans ces domaines est déséquilibré’’.
Un déséquilibre qu’Ahmady Sow justifie par l’urgence prioritaire de la question de l’eau qui pose un véritable problème dans l’ensemble des 59 villages que polarise la communauté rurale.
Sur les 77.000.030 de francs alloués à l’investissement, l’hydraulique engloutit 29.000.500 pour l’exercice en cours.