Tambacounda, 2 nov (APS) - La communauté des communes de Montrovel de Bresse (France) va financer, l’année prochaine, des projets sociaux axés entre autres sur l’adduction d’eau, la réhabilitation de clôtures et l’équipement de jardins maraîchers à hauteur de 25 millions dans les communautés rurales de Goumbayel, de Koar et la commune de Kothiary (Tambacounda), a annoncé dimanche, le président du conseil rural de Koar, Baganda Sakho.
L’allègement des travaux de la femme, la construction d’étables fumiers et l’achat d’aliments de bétail sont aussi visés par les projets financés par les partenaires dans ces communautés du département de Goudiry.
M. Sakho est revenu sur les actions à mener au cours de l’année 2010 qui vont coûter plus de 25 millions. D’après lui, la participation des bénéficiaires sera de 2,2 millions de FCFA, et celle des collectivités, de 2,9 millions de FCFA et les 20 millions seront versés par les partenaires français de Montrovel de Bresse.
Il s’adressait à la presse à Tambacounda, en présence du maire de Montrovel (France), Jean Pierre Roche par ailleurs président de la communauté des communes de Montrovel et conseiller général de l’Ain qui conduisait une forte délégation. M. Roche a décliné la feuille de route de la coopération Nord-Sud qu’envisage sa collectivité.
‘’Il va falloir qu’on réfléchisse ensemble, comment avancer sur ce chantier tout en précisant que ce n’est qu’en mobilisant l’ensemble des acteurs (les populations) que la bataille sera gagnée’’, a dit Baganda Sakho au nom de l’entente intercommunautaire composée des trois collectivités locales bénéficiaires.
‘’Il faut faire du développement durable pour les hommes et pour la planète’’, a déclaré Jean Pierre Roche, tout en précisant que la communauté des communes de Montrovel a souhaité décliner la façon dont l’accord de la conférence de Rio de Janeiro qui a évoqué la question de l’avenir de la planète et de l’humanité devrait être appliqué.
‘’L’esprit du développement durable est un esprit qui est exigeant mais c’est la façon avec laquelle nous devons gérer la planète pour que l’homme puisse continuer à vivre sur cette terre sans trop détruire les ressources de ces enfants’’, a souligné le maire de Montrovel.
‘’On sait aujourd’hui que la planète est en difficulté, mais c’est surtout l’espèce humaine qui va être en difficultés’’, a-t-il ajouté. D’après lui, les activités qui doivent être développées ‘’doivent toutes s’insérer qu’elles soient en France ou ici en Afrique dans cette idée que nous avons des ressources qui sont limitées’’.
D’où la nécessité, a-t-il dit, de créer des activités ‘’par rapport aux besoins réels et non sur la base d’activités fictives, superficielles ou virtuelles. Dans le cadre de nos échanges c’est bien cette idée que nous travaillons pour que ça profite au plus grand nombre’’.
Le maire de Montrovel a, en outre, évoqué la question des déchets qui nécessite une sensibilisation, laquelle va commencer en Europe ‘’où nous avons les moyens’’. Il a noté qu’ ‘’il fut un temps où la question des déchets n’était pas prioritaire. On le sait bien nous sommes dans une économie qui produit beaucoup d’emballages, beaucoup de déchets, on ne sait pas comment on les traite, on les retraite’’.
‘’Là, il y aura aussi à développer, à explorer des champs nouveaux, comment trouver les voies et moyens à la sénégalaise, à l’africaine aussi’’, s’est demandé M. Roche, qui a constaté que la problématique ‘’s’est aggravée, (et qu’) il va falloir qu’on réfléchisse ensemble, comment avancer sur ce chantier’’.
Ce n’est qu’en mobilisant l’ensemble des acteurs (les populations) que la bataille sera gagnée, a-t-il estimé.
L’allègement des travaux de la femme, la construction d’étables fumiers et l’achat d’aliments de bétail sont aussi visés par les projets financés par les partenaires dans ces communautés du département de Goudiry.
M. Sakho est revenu sur les actions à mener au cours de l’année 2010 qui vont coûter plus de 25 millions. D’après lui, la participation des bénéficiaires sera de 2,2 millions de FCFA, et celle des collectivités, de 2,9 millions de FCFA et les 20 millions seront versés par les partenaires français de Montrovel de Bresse.
Il s’adressait à la presse à Tambacounda, en présence du maire de Montrovel (France), Jean Pierre Roche par ailleurs président de la communauté des communes de Montrovel et conseiller général de l’Ain qui conduisait une forte délégation. M. Roche a décliné la feuille de route de la coopération Nord-Sud qu’envisage sa collectivité.
‘’Il va falloir qu’on réfléchisse ensemble, comment avancer sur ce chantier tout en précisant que ce n’est qu’en mobilisant l’ensemble des acteurs (les populations) que la bataille sera gagnée’’, a dit Baganda Sakho au nom de l’entente intercommunautaire composée des trois collectivités locales bénéficiaires.
‘’Il faut faire du développement durable pour les hommes et pour la planète’’, a déclaré Jean Pierre Roche, tout en précisant que la communauté des communes de Montrovel a souhaité décliner la façon dont l’accord de la conférence de Rio de Janeiro qui a évoqué la question de l’avenir de la planète et de l’humanité devrait être appliqué.
‘’L’esprit du développement durable est un esprit qui est exigeant mais c’est la façon avec laquelle nous devons gérer la planète pour que l’homme puisse continuer à vivre sur cette terre sans trop détruire les ressources de ces enfants’’, a souligné le maire de Montrovel.
‘’On sait aujourd’hui que la planète est en difficulté, mais c’est surtout l’espèce humaine qui va être en difficultés’’, a-t-il ajouté. D’après lui, les activités qui doivent être développées ‘’doivent toutes s’insérer qu’elles soient en France ou ici en Afrique dans cette idée que nous avons des ressources qui sont limitées’’.
D’où la nécessité, a-t-il dit, de créer des activités ‘’par rapport aux besoins réels et non sur la base d’activités fictives, superficielles ou virtuelles. Dans le cadre de nos échanges c’est bien cette idée que nous travaillons pour que ça profite au plus grand nombre’’.
Le maire de Montrovel a, en outre, évoqué la question des déchets qui nécessite une sensibilisation, laquelle va commencer en Europe ‘’où nous avons les moyens’’. Il a noté qu’ ‘’il fut un temps où la question des déchets n’était pas prioritaire. On le sait bien nous sommes dans une économie qui produit beaucoup d’emballages, beaucoup de déchets, on ne sait pas comment on les traite, on les retraite’’.
‘’Là, il y aura aussi à développer, à explorer des champs nouveaux, comment trouver les voies et moyens à la sénégalaise, à l’africaine aussi’’, s’est demandé M. Roche, qui a constaté que la problématique ‘’s’est aggravée, (et qu’) il va falloir qu’on réfléchisse ensemble, comment avancer sur ce chantier’’.
Ce n’est qu’en mobilisant l’ensemble des acteurs (les populations) que la bataille sera gagnée, a-t-il estimé.