Mbodiène (Mbour), 29 avr (APS) - La productivité et la compétitivité des exploitations familiales agricoles et pastorales sont ‘’une préoccupation majeure du gouvernement du Sénégal", a indiqué le docteur Abdoulaye Dieng, conseiller technique au ministre de l’Elevage.
Dans cette perspective que le Sénégal s’est doté d’"un cadre réglementaire approprié" avec la promulgation de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale, a dit le docteur Dieng, jeudi à Mbodiène (Mbour).
Il s’exprimait lors d’un atelier thématique et de validation des axes d’orientation stratégiques du Plan national de développement de l’élevage (PNDE).
La rencontre, organisée par la Direction de l’élevage, a réuni les différents acteurs du secteur de l’élevage. Elle vise à approfondir le diagnostic du secteur et de partager la vision et les propositions d’axes d’orientation stratégiques identifiés.
Dans cette loi d’orientation, a rappelé le docteur Dieng, en concertation avec les collectivités locales et les organisations de producteurs, l’Etat s’engage à définir et à mettre en œuvre le PNDE dont l’élaboration a démarré depuis 2006.
Il a souligné déclaré que "le défi qui se pose est d’assurer de fortes productions agricoles et animales de manière durable et de réaliser les objectifs nationaux en matière de sécurité alimentaire voire de souveraineté alimentaire".
C’est pourquoi, selon lui, les orientations du développement rural portent sur ‘’la création d’un environnement attractif et inactif qui vise la promotion de l’exploitation familiale par le passage des systèmes extensifs de production à des systèmes intensifs de production durables et respectueux de l’environnement’’.
Selon Abdoulaye Dieng, le gouvernement du Sénégal a exprimé sa volonté de faire de l’agriculture le moteur de la croissance économique et social, compte tenu de l’importance de la composante rurale de sa population qui tourne autour de 70% de la population nationale.
Il a souligné que l’agriculture et l’élevage constituent les principales activités en zone rurale et occupent une part importante de la population active.
L’atelier de Mbodiène se penchera pendant trois jours (du 28 au 30 avril) sur les moyens de développer le secteur de l’élevage.
ADE/AD
Dans cette perspective que le Sénégal s’est doté d’"un cadre réglementaire approprié" avec la promulgation de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale, a dit le docteur Dieng, jeudi à Mbodiène (Mbour).
Il s’exprimait lors d’un atelier thématique et de validation des axes d’orientation stratégiques du Plan national de développement de l’élevage (PNDE).
La rencontre, organisée par la Direction de l’élevage, a réuni les différents acteurs du secteur de l’élevage. Elle vise à approfondir le diagnostic du secteur et de partager la vision et les propositions d’axes d’orientation stratégiques identifiés.
Dans cette loi d’orientation, a rappelé le docteur Dieng, en concertation avec les collectivités locales et les organisations de producteurs, l’Etat s’engage à définir et à mettre en œuvre le PNDE dont l’élaboration a démarré depuis 2006.
Il a souligné déclaré que "le défi qui se pose est d’assurer de fortes productions agricoles et animales de manière durable et de réaliser les objectifs nationaux en matière de sécurité alimentaire voire de souveraineté alimentaire".
C’est pourquoi, selon lui, les orientations du développement rural portent sur ‘’la création d’un environnement attractif et inactif qui vise la promotion de l’exploitation familiale par le passage des systèmes extensifs de production à des systèmes intensifs de production durables et respectueux de l’environnement’’.
Selon Abdoulaye Dieng, le gouvernement du Sénégal a exprimé sa volonté de faire de l’agriculture le moteur de la croissance économique et social, compte tenu de l’importance de la composante rurale de sa population qui tourne autour de 70% de la population nationale.
Il a souligné que l’agriculture et l’élevage constituent les principales activités en zone rurale et occupent une part importante de la population active.
L’atelier de Mbodiène se penchera pendant trois jours (du 28 au 30 avril) sur les moyens de développer le secteur de l’élevage.
ADE/AD