La technologie demeure un des moyens de sortir l’Afrique de la pauvreté. C’est dans ce cadre que l’Université virtuelle africaine (Uva) a organisé du 15 au 20 avril un séminaire de formation qui a enregistré la participation de 25 jeunes venant des différentes localités du pays. Il a instruit les participants sur la contribution de la technologie à l’atteinte des objectifs de développement de l’Afrique pour le millénaire et la réduction de la pauvreté. En effet, la technologie occupe une place importante parmi les sept objectifs du Millénaire pour le développement qui sont d’assurer l’éducation primaire pour tous, de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, de réduire la mortalité infantile, d’améliorer la santé maternelle, de combattre le Vih/Sida, le paludisme et d’autres maladies, d’assurer un environnement durable et de mettre en place un partenariat mondial pour le développement.
Le rapport du Nepad place l’ingénierie, la technologie et la détermination des donateurs au premier plan du Partenariat stratégique avec l’Afrique, pour tout ce qui touche au renforcement des capacités, à l’acquisition, à l’innovation et au partage de la technologie axée sur la réduction de la pauvreté et le développement des infrastructures en vue d’un développement durable. Le Professeur Alberic Chimon, spécialiste du système d’information de la Francophonie, a mis l’accent sur ces considérations pour rappeler le rôle important joué par l’Université virtuelle africaine et les travaux de l’unité intermédiaire de transfert technologique. Et d’évoquer le cas spécifique du Sénégal, où 40 % de la population vivent dans la précarité, et qui constitue un défi immense pour l’ingénierie, la science et la technologie. Il a aussi fait référence à la stratégie du Sénégal en matière de lutte contre la pauvreté, et a demandé aux organisateurs du séminaire de proposer des suggestions pratiques en vue d’une ingénierie et d’une technologie appliquée à la lutte contre la pauvreté. A cet égard, il a personnellement offert son soutien à cette activité.
Le Sénégal accorde une large place à la lutte contre la pauvreté qui passe par un accès des plus pauvres au savoir et aux ressources leur permettant de subvenir à leurs besoins essentiels, mais aussi par la promotion d’un développement durable dans des domaines tels que l’approvisionnement en eau, les équipements sanitaires, le logement, l’énergie, les transports, les moyens de communication, la création de revenus et d’emplois. Avec un accent particulier mis sur le transfert et l’application du savoir et de la technologie à la promotion d’une ‘société du savoir’ au niveau local. Une telle technologie devrait être adaptée à la condition sociale, économique, au degré d’instruction et de compétences des populations démunies. Pour le professeur Alberic Chimon, le défi consiste à mettre cette technologie à la portée des pauvres de façon à ce qu’elle les émancipe en les rendant capables de subvenir à leurs besoins essentiels.
Les conclusions de ce séminaire devraient mettre en lumière le rôle essentiel que peut jouer la technologie dans la lutte contre la pauvreté, l’importance des innovations et du transfert technologique et les rapports existant entre producteurs et utilisateurs.
Wal Fadjri
Le rapport du Nepad place l’ingénierie, la technologie et la détermination des donateurs au premier plan du Partenariat stratégique avec l’Afrique, pour tout ce qui touche au renforcement des capacités, à l’acquisition, à l’innovation et au partage de la technologie axée sur la réduction de la pauvreté et le développement des infrastructures en vue d’un développement durable. Le Professeur Alberic Chimon, spécialiste du système d’information de la Francophonie, a mis l’accent sur ces considérations pour rappeler le rôle important joué par l’Université virtuelle africaine et les travaux de l’unité intermédiaire de transfert technologique. Et d’évoquer le cas spécifique du Sénégal, où 40 % de la population vivent dans la précarité, et qui constitue un défi immense pour l’ingénierie, la science et la technologie. Il a aussi fait référence à la stratégie du Sénégal en matière de lutte contre la pauvreté, et a demandé aux organisateurs du séminaire de proposer des suggestions pratiques en vue d’une ingénierie et d’une technologie appliquée à la lutte contre la pauvreté. A cet égard, il a personnellement offert son soutien à cette activité.
Le Sénégal accorde une large place à la lutte contre la pauvreté qui passe par un accès des plus pauvres au savoir et aux ressources leur permettant de subvenir à leurs besoins essentiels, mais aussi par la promotion d’un développement durable dans des domaines tels que l’approvisionnement en eau, les équipements sanitaires, le logement, l’énergie, les transports, les moyens de communication, la création de revenus et d’emplois. Avec un accent particulier mis sur le transfert et l’application du savoir et de la technologie à la promotion d’une ‘société du savoir’ au niveau local. Une telle technologie devrait être adaptée à la condition sociale, économique, au degré d’instruction et de compétences des populations démunies. Pour le professeur Alberic Chimon, le défi consiste à mettre cette technologie à la portée des pauvres de façon à ce qu’elle les émancipe en les rendant capables de subvenir à leurs besoins essentiels.
Les conclusions de ce séminaire devraient mettre en lumière le rôle essentiel que peut jouer la technologie dans la lutte contre la pauvreté, l’importance des innovations et du transfert technologique et les rapports existant entre producteurs et utilisateurs.
Wal Fadjri