Après 30 mois de mise en œuvre du projet « Appui aux organisations de producteurs pour la valorisation des filières porteuses dans les régions de Kaolack, Fatick et Louga », les responsables du projet, les bénéficiaires et les bailleurs de fonds, se sont retrouvés, hier, pour une évaluation à mi-parcours. Selon le conseiller technique du ministre de l’Agriculture, ladite rencontre a pour objectif d’évaluer la stratégie de communication et de commercialisation du projet.
Pour le Sénégal, « le projet d’appui aux Organisations de producteurs pour la valorisation des filières porteuses (maraichage et pêche en particulier) dans trois communautés rurales a un volume financier de plus de 1,5 milliards de FCfa sur quatre ans et demi », a soutenu le représentant de la Fao au Sénégal, Amadou Ouattara. Après plus de deux ans de mise en œuvre du projet, 47% du financement a été mobilisé dans une dynamique d’amélioration de la valeur ajoutée produits agricoles et halieutique des communautés rurales de Wack Ngouna (région de Kaolack), de Leona (région de Louga) et de Toubacouta dans la région de Fatick. Et d’ajouter : « sur ce montant décaissé, une quotte part de 52,7% a été consacré à des investissements directs au profit des bénéficiaires (formation, intrants, équipements, construction d’infrastructures, accompagnement technique) ».
M. Ouattara a aussi indiqué que ce partenariat entre acteurs devrait s’élargir à la Coopération Canadienne avec laquelle, les négociations sont en cours pour un financement, à hauteur de 5.373.627 dollars canadiens visant le renforcement de la sécurité alimentaire des zones des Niayes et de la Casamance à travers les Projets Pisa et Gestion Intégrée de la Production et des Déprédateurs
« La coopération Italienne, a travers les connaissances et les capacités techniques de la Fao, s’efforce d’appuyer la transformation de l’agriculture dans une activité moderne, compétitive et commerciale, tout en cherchant à améliorer la sécurité alimentaire avec une stratégie commune basée sur la commercialisation, grâce à la valorisation, la rentabilité et la consolidation de l’efficacité tout au long des filières ».,a indiqué le chef du Bureau de la Direction Générale pour la Coopération au Développement du Ministère des Affaires étrangères Italien, Mauro Massoni.
Le représentant du gouvernement Italien a insisté sur la nécessité d’assurer que les fonds soient dépensés « avec efficience » et selon les modalités et le temps proposés, en dépit de la situation économique globale courante qui a compromis la capacité financière de la plupart des bailleurs des fonds.
Cheikh NDONG
Sud Quotidien
Pour le Sénégal, « le projet d’appui aux Organisations de producteurs pour la valorisation des filières porteuses (maraichage et pêche en particulier) dans trois communautés rurales a un volume financier de plus de 1,5 milliards de FCfa sur quatre ans et demi », a soutenu le représentant de la Fao au Sénégal, Amadou Ouattara. Après plus de deux ans de mise en œuvre du projet, 47% du financement a été mobilisé dans une dynamique d’amélioration de la valeur ajoutée produits agricoles et halieutique des communautés rurales de Wack Ngouna (région de Kaolack), de Leona (région de Louga) et de Toubacouta dans la région de Fatick. Et d’ajouter : « sur ce montant décaissé, une quotte part de 52,7% a été consacré à des investissements directs au profit des bénéficiaires (formation, intrants, équipements, construction d’infrastructures, accompagnement technique) ».
M. Ouattara a aussi indiqué que ce partenariat entre acteurs devrait s’élargir à la Coopération Canadienne avec laquelle, les négociations sont en cours pour un financement, à hauteur de 5.373.627 dollars canadiens visant le renforcement de la sécurité alimentaire des zones des Niayes et de la Casamance à travers les Projets Pisa et Gestion Intégrée de la Production et des Déprédateurs
« La coopération Italienne, a travers les connaissances et les capacités techniques de la Fao, s’efforce d’appuyer la transformation de l’agriculture dans une activité moderne, compétitive et commerciale, tout en cherchant à améliorer la sécurité alimentaire avec une stratégie commune basée sur la commercialisation, grâce à la valorisation, la rentabilité et la consolidation de l’efficacité tout au long des filières ».,a indiqué le chef du Bureau de la Direction Générale pour la Coopération au Développement du Ministère des Affaires étrangères Italien, Mauro Massoni.
Le représentant du gouvernement Italien a insisté sur la nécessité d’assurer que les fonds soient dépensés « avec efficience » et selon les modalités et le temps proposés, en dépit de la situation économique globale courante qui a compromis la capacité financière de la plupart des bailleurs des fonds.
Cheikh NDONG
Sud Quotidien