De toute façon, les résultats du travail accomplit sont visibles sur le terrain. Des pêcheurs sont aujourd’hui formels sur le retour de certaines espèces avec les efforts faits pour la protection de la ressource. Les aires marines protégées de la grande et de la petite côte ont fini de montrer leurs preuves dans la réussite d’opérations menées sous la conduite de professionnels. La protection de la tortue marine qui a aujourd’hui gagné l’affection des joalfadiouthiens en est une illustration. Il faut signaler que dans la ville du président poète, l’Amp est perçue désormais comme un élément du patrimoine et du cadre de vie jalousement intégré.
Une note administrative a fini de mettre à disposition ou de reverser des personnels des amp de Kayar et Joal-Fadiouth à la direction des parcs nationaux, ceux de Saint – Louis au parc du Djoudj, de Bambou au parc du Delta du Saloum. Le personnel de l’Amp d’ Abéné intègre le parc de la Basse Casamance.
Des grincements de dent sont notés par rapport à cette prise de décision. Un soldat de la nature et de l’environnement interrogé et qui a requis l’anonymat a fait part de ses regrets. Il évoque les efforts et la volonté affichés pour la mise en place d’aires marines protégées au Sénégal. Il se désole de voir un élan brisé dans la gestion durable des ressources.
Partout dans les spécialistes admettent que les aires marines protégées demeurent un précieux outil de protection et de conservation de la biodiversité. Les avantages liés à leur gestion et leur exploitation sont multiples. Ils comprennent des aspects d’ordre écologique, social, économique et culturel. Ce répertoire montre que la gestion et l’exploitation d’une aire marine protégée dépassent de loin le seul secteur de la pêche mais intéresse d’une manière générale, la biodiversité.
Les services des pêches et les pêcheurs sont attendus à l’épreuve de la perpétuation des acquis mais aussi de la gestion rigoureuse de la biodiversité. « Quel gâchis, après tant d’efforts ? Un grand dommage » confie un professionnel de l’environnement très sceptique avec la démarche nouvelle initiée.
Sud Quotidien
Une note administrative a fini de mettre à disposition ou de reverser des personnels des amp de Kayar et Joal-Fadiouth à la direction des parcs nationaux, ceux de Saint – Louis au parc du Djoudj, de Bambou au parc du Delta du Saloum. Le personnel de l’Amp d’ Abéné intègre le parc de la Basse Casamance.
Des grincements de dent sont notés par rapport à cette prise de décision. Un soldat de la nature et de l’environnement interrogé et qui a requis l’anonymat a fait part de ses regrets. Il évoque les efforts et la volonté affichés pour la mise en place d’aires marines protégées au Sénégal. Il se désole de voir un élan brisé dans la gestion durable des ressources.
Partout dans les spécialistes admettent que les aires marines protégées demeurent un précieux outil de protection et de conservation de la biodiversité. Les avantages liés à leur gestion et leur exploitation sont multiples. Ils comprennent des aspects d’ordre écologique, social, économique et culturel. Ce répertoire montre que la gestion et l’exploitation d’une aire marine protégée dépassent de loin le seul secteur de la pêche mais intéresse d’une manière générale, la biodiversité.
Les services des pêches et les pêcheurs sont attendus à l’épreuve de la perpétuation des acquis mais aussi de la gestion rigoureuse de la biodiversité. « Quel gâchis, après tant d’efforts ? Un grand dommage » confie un professionnel de l’environnement très sceptique avec la démarche nouvelle initiée.
Sud Quotidien