Mbour, 20 mars (APS) – La résolution des problèmes dans le secteur de la pêche au Sénégal ‘’passe nécessairement par une gouvernance vertueuse, efficace et efficiente’’ qui permettra une exploitation durable de la ressource halieutique, a souligné mercredi le président de l’Association pour la promotion et la responsabilisation des acteurs de la pêche de Mbour (APRAPAM), Gaoussou Guèye.
‘’Dans le secteur de la pêche de capture, l'exploitation des ressources halieutiques marines ne peut être optimale et à long terme, que si les intervenants se plient une gouvernance rationnelle’’, a dit M. Guèye.
Il s’exprimait lors d’un panel sur la gouvernance de la pêche maritime artisanale au Sénégal, initié par l’APRAPAM, en partenariat avec le Réseau des journalistes pour la pêche et l’environnement (RJMPE).
Selon lui, ‘’l'établissement de restrictions à l'accès libre aux ressources est nécessaire, mais pas suffisant pour garantir une gouvernance rationnelle’’.
Pour être en phase avec les institutions internationales, le Sénégal a adopté une approche participative, impliquant tous les acteurs pour une gestion durable des ressources halieutiques, a rappelé Gaoussou Guèye.
Selon le Code de la pêche dispose, ‘’des conseils locaux des pêches artisanales peuvent être institués dans les régions’’.
‘’C’est dans ce cadre que le Sénégal, dans le but d’inverser les tendances encore lourdes de son système de gestion des pêcheries et du développement de son économie halieutique, a opté pour, entre autres outils d’aménagement, la mise en œuvre d’une approche de cogestion des pêcheries artisanales’’, a souligné le président de l’APRAPAM.
ADE/OID/AD
‘’Dans le secteur de la pêche de capture, l'exploitation des ressources halieutiques marines ne peut être optimale et à long terme, que si les intervenants se plient une gouvernance rationnelle’’, a dit M. Guèye.
Il s’exprimait lors d’un panel sur la gouvernance de la pêche maritime artisanale au Sénégal, initié par l’APRAPAM, en partenariat avec le Réseau des journalistes pour la pêche et l’environnement (RJMPE).
Selon lui, ‘’l'établissement de restrictions à l'accès libre aux ressources est nécessaire, mais pas suffisant pour garantir une gouvernance rationnelle’’.
Pour être en phase avec les institutions internationales, le Sénégal a adopté une approche participative, impliquant tous les acteurs pour une gestion durable des ressources halieutiques, a rappelé Gaoussou Guèye.
Selon le Code de la pêche dispose, ‘’des conseils locaux des pêches artisanales peuvent être institués dans les régions’’.
‘’C’est dans ce cadre que le Sénégal, dans le but d’inverser les tendances encore lourdes de son système de gestion des pêcheries et du développement de son économie halieutique, a opté pour, entre autres outils d’aménagement, la mise en œuvre d’une approche de cogestion des pêcheries artisanales’’, a souligné le président de l’APRAPAM.
ADE/OID/AD