RIZICULTURE Concertation autour de la filière riz
Avec un taux de 34% du volume de la consommation céréalière au Sénégal, la production du riz reste à un maximum de 200.000 tonnes par année, loin de répondre donc à la demande intérieure. C’est à cet effet que la Coalition pour le développement de la Riziculture en Afrique a réuni, pendant une semaine de travail, des experts, afin d’évaluer les actions entreprises et de proposer des priorités pour les futures interventions dans le développement de la riziculture.
Il ressort de ces concertations que les spécificités agro-écologiques, tout autant que les différences socio-économiques des zones de production de riz au Sénégal, appellent pour plus d’efficience à la mise en œuvre d’actions ciblées qui tiennent compte du contexte particulier à chaque localité.
L’atelier de restitution de la mise en œuvre des CLCR et des semaines de travail dans les trois zones agro écologiques de production de riz, a été l’occasion, pour le Directeur de Cabinet du ministre, Ahmat Sall de agriculture, de noter que cette initiative traduit la politique de décentralisation de l’Etat par le transfert de la supervision du programme national d’autosuffisance du riz à des structures locales.
L’adjoint au représentant du bureau de la JICA M. Igawa a émis le souhait que cette réunion d’hier soit le lieu pour entamer de profondes réflexions sur les moyens de financement durable de cadres qui constituent d’importants outils d’harmonisation des activités et de synergie d’action.
Mamadou DIOUF
REWMI
Il ressort de ces concertations que les spécificités agro-écologiques, tout autant que les différences socio-économiques des zones de production de riz au Sénégal, appellent pour plus d’efficience à la mise en œuvre d’actions ciblées qui tiennent compte du contexte particulier à chaque localité.
L’atelier de restitution de la mise en œuvre des CLCR et des semaines de travail dans les trois zones agro écologiques de production de riz, a été l’occasion, pour le Directeur de Cabinet du ministre, Ahmat Sall de agriculture, de noter que cette initiative traduit la politique de décentralisation de l’Etat par le transfert de la supervision du programme national d’autosuffisance du riz à des structures locales.
L’adjoint au représentant du bureau de la JICA M. Igawa a émis le souhait que cette réunion d’hier soit le lieu pour entamer de profondes réflexions sur les moyens de financement durable de cadres qui constituent d’importants outils d’harmonisation des activités et de synergie d’action.
Mamadou DIOUF
REWMI
