Kaolack, 1er déc (APS) – L’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR) veut mobiliser 5.000 producteurs de riz des régions de Fatick et Kaolack (centre) autour du Système de riziculture intensive (SRI), une innovation censée améliorer la productivité rizicole, a indiqué lundi son directeur chargé de la zone du Bassin arachidier, Abdoulaye Sy.
Autant de riziculteurs de ces deux régions seront formés au SRI, un système de production de riz qui, selon M. Sy, a fait ses preuves en Asie, dans des pays africains et à Toubacouta, dans la région de Fatick.
"La diffusion du SRI va se faire par la méthode de la formation en cascade : des techniciens du secteur et les animateurs d’ONG intervenant dans la riziculture seront formés. Ils vont à leur tour former des producteurs au cycle de production du riz", a-t-il expliqué lors d’un atelier de lancement du SRI.
"Les producteurs formés au SRI vont, l’année prochaine, transmettre leur savoir à d’autres producteurs", a ajouté M. Sy.
Selon lui, la "formation en cascade" sera utilisée pour toucher, en deux ou trois ans, quelque 5.000 producteurs de riz des régions de Fatick et de Kaolack.
L’ANCAR veut, avec le SRI, améliorer la productivité et les revenus des producteurs de riz, a dit Abdoulaye Sy.
AB/ESF
Autant de riziculteurs de ces deux régions seront formés au SRI, un système de production de riz qui, selon M. Sy, a fait ses preuves en Asie, dans des pays africains et à Toubacouta, dans la région de Fatick.
"La diffusion du SRI va se faire par la méthode de la formation en cascade : des techniciens du secteur et les animateurs d’ONG intervenant dans la riziculture seront formés. Ils vont à leur tour former des producteurs au cycle de production du riz", a-t-il expliqué lors d’un atelier de lancement du SRI.
"Les producteurs formés au SRI vont, l’année prochaine, transmettre leur savoir à d’autres producteurs", a ajouté M. Sy.
Selon lui, la "formation en cascade" sera utilisée pour toucher, en deux ou trois ans, quelque 5.000 producteurs de riz des régions de Fatick et de Kaolack.
L’ANCAR veut, avec le SRI, améliorer la productivité et les revenus des producteurs de riz, a dit Abdoulaye Sy.
AB/ESF