Le séminaire de cinq jours organisé à Mbodiène (département de Mbour) sur la gestion de l’eau en milieu rural entre la coopération technique belge et les techniciens de 12 pays a pris fin hier, dimanche 9 novembre. Pendant cinq jours, les participants à ce séminaire se sont penchés sur les réalisations et difficultés du Parpeba (projet d’amélioration et de renforcement des points d’eau dans le bassin arachidier).
En marge de ce séminaire, Georges Pierseaux de la coopération technique belge a fait part d’une préoccupation essentielle : la non-effectivité de la garantie de l’accès à l’eau potable en milieu rural. Pour lui la coopération technique belge se lie à la déclaration de Paris sur le code de conduite de l’Union européenne. Il a abordé la question des appuis aux politiques et stratégies ainsi que celui de tous les acteurs impliqués pour la réussite de l’entreprise reposant sur des échanges d’expériences dans chaque pays.
Pour Diène Faye, directeur de l’hydraulique rural et président du comité de pilotage du Parpeba, les avancées dans l’hydraulique rurale sont fondamentales à travers des innovations comme la commercialisation acceptée et entretenue. Il a loué l’échange d’expérience essentiel pour les programmes à venir. Sur la pérennisation des actions du Parpeba, il a souligné que des efforts ont été faits dans la gestion de la commercialisation de l’eau et ceux qui ont été entrepris pour la réparation d’ouvrages en panne par le changement de pièces et la volonté de regroupement d’association gérant des forages.
Kemokho Danfakha, directeur du Parpeba qui doit laisser la place au Papemba (programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire) à partir de décembre 2008, il est revenu sur le problème de la commercialisation de l’eau traitée. Selon lui, celle-ci fait l’objet d’un suivi scientifique et technique dont les contours sont entrain d’être ficelés.
Sur la question des pertes énormes au niveau de certains ouvrages du Parpeba entre les quantités pompées et celles qui sont traitées de trois litres pour un, des voies sont explorées pour trouver des solutions.
Sud Quotidien
En marge de ce séminaire, Georges Pierseaux de la coopération technique belge a fait part d’une préoccupation essentielle : la non-effectivité de la garantie de l’accès à l’eau potable en milieu rural. Pour lui la coopération technique belge se lie à la déclaration de Paris sur le code de conduite de l’Union européenne. Il a abordé la question des appuis aux politiques et stratégies ainsi que celui de tous les acteurs impliqués pour la réussite de l’entreprise reposant sur des échanges d’expériences dans chaque pays.
Pour Diène Faye, directeur de l’hydraulique rural et président du comité de pilotage du Parpeba, les avancées dans l’hydraulique rurale sont fondamentales à travers des innovations comme la commercialisation acceptée et entretenue. Il a loué l’échange d’expérience essentiel pour les programmes à venir. Sur la pérennisation des actions du Parpeba, il a souligné que des efforts ont été faits dans la gestion de la commercialisation de l’eau et ceux qui ont été entrepris pour la réparation d’ouvrages en panne par le changement de pièces et la volonté de regroupement d’association gérant des forages.
Kemokho Danfakha, directeur du Parpeba qui doit laisser la place au Papemba (programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire) à partir de décembre 2008, il est revenu sur le problème de la commercialisation de l’eau traitée. Selon lui, celle-ci fait l’objet d’un suivi scientifique et technique dont les contours sont entrain d’être ficelés.
Sur la question des pertes énormes au niveau de certains ouvrages du Parpeba entre les quantités pompées et celles qui sont traitées de trois litres pour un, des voies sont explorées pour trouver des solutions.
Sud Quotidien