C’est autour du thème « Les enjeux et perspectives de la gestion de l’eau potable en milieu rural », qu’un séminaire s’est tenu hier à Mbodiéne (départements de Mbour) avec des participants venus d’Europe. Selon une note de présentation, Cette rencontre intervient, dans un contexte où il est envisagé de réduire de moitié, d’ici 2015, le nombre de personnes confrontées à un problème d’accès à l’eau potable et à un assainissement élémentaire. Cette Préoccupation qui est au centre des Objectifs du Millénaire pour le développement est en phase avec la volonté de la Coopération technique belge dont le souci est d’améliorer les pratiques de gestion et la durabilité de la gestion des réseaux et des services financés.
L’un des objectifs principaux de cet atelier est de permettre à la capitalisation des programmes réalisés et des activités menées par la Coopération technique belge et ses partenaires en Afrique dans le domaine de l’hydraulique rurale. L’autre objectif est d’échanger des expériences et la mise en relation des acteurs institutionnels et dans le cadre des projets cofinancés par la coopération belge dans le domaine de l’eau potable et de l’assainissement en milieu rural.
La rencontre de Mbodiène traduit « l’opportunité d’une réflexion stratégique et par anticipation dans le domaine de la gestion de l’eau mais aussi, il répond parfaitement aux préoccupations de Monsieur le Président de la République, son Excellence Me Abdoulaye Wade et son gouvernement qui ont comme souci majeur d’assurer aux populations aussi bien rurales qu’urbaines un accès durable à l’eau potable », déclare Alassane Kane, directeur de cabinet du ministre de l’hydraulique rurale et du réseau hydrographique national qui a procédé à l’ouverture officielle de la rencontre.
Le représentant du ministre souligne que la rencontre de Mbodiène vient à son heure en ce qui concerne la capitalisation des diverses expériences développées dans l’espace francophone africain.
Dans son intervention, il estime que le projet d’amélioration et de renforcement des points d’eau dans le Bassin Arachidier (Parpeba) est un exemple de coopération réussie entre les pays du Nord et du Sud. En ce sens, il a magnifié la subvention non remboursable de dix milliards de francs Cfa du Royaume de Belgique au Sénégal pour le financement du Parpeba.
À l’en croire, le Parpeba s’intègre dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Il a assuré un accès à l’eau potable à 260 000 personnes dans 500 villages des régions de Diourbel, Fatick et Kaolack. Il le présente comme un modèle à multiplier dans le cadre de la réforme de l’hydraulique rurale au Sénégal. Il compte aussi à son actif l’encadrement de 53 associations de forage dotées d’outils de gestion comme la comptabilité, la maintenance courante des équipements.
Sud Quotidien
L’un des objectifs principaux de cet atelier est de permettre à la capitalisation des programmes réalisés et des activités menées par la Coopération technique belge et ses partenaires en Afrique dans le domaine de l’hydraulique rurale. L’autre objectif est d’échanger des expériences et la mise en relation des acteurs institutionnels et dans le cadre des projets cofinancés par la coopération belge dans le domaine de l’eau potable et de l’assainissement en milieu rural.
La rencontre de Mbodiène traduit « l’opportunité d’une réflexion stratégique et par anticipation dans le domaine de la gestion de l’eau mais aussi, il répond parfaitement aux préoccupations de Monsieur le Président de la République, son Excellence Me Abdoulaye Wade et son gouvernement qui ont comme souci majeur d’assurer aux populations aussi bien rurales qu’urbaines un accès durable à l’eau potable », déclare Alassane Kane, directeur de cabinet du ministre de l’hydraulique rurale et du réseau hydrographique national qui a procédé à l’ouverture officielle de la rencontre.
Le représentant du ministre souligne que la rencontre de Mbodiène vient à son heure en ce qui concerne la capitalisation des diverses expériences développées dans l’espace francophone africain.
Dans son intervention, il estime que le projet d’amélioration et de renforcement des points d’eau dans le Bassin Arachidier (Parpeba) est un exemple de coopération réussie entre les pays du Nord et du Sud. En ce sens, il a magnifié la subvention non remboursable de dix milliards de francs Cfa du Royaume de Belgique au Sénégal pour le financement du Parpeba.
À l’en croire, le Parpeba s’intègre dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Il a assuré un accès à l’eau potable à 260 000 personnes dans 500 villages des régions de Diourbel, Fatick et Kaolack. Il le présente comme un modèle à multiplier dans le cadre de la réforme de l’hydraulique rurale au Sénégal. Il compte aussi à son actif l’encadrement de 53 associations de forage dotées d’outils de gestion comme la comptabilité, la maintenance courante des équipements.
Sud Quotidien