Saint-Louis, 28 mars (APS) - Sur un parc de pirogues estimé à 2.800 à Saint-Louis, seules 729 restent à être immatriculées, a révélé, lundi, le coordonnateur du Programme national d’immatriculation des embarcations de type artisanal, Adama Diop, à l’issue d’une mission d’évaluation de la Banque mondiale.
‘’Nous avons pu constater sur place que le programme a été bien exécuté et bien accueilli par les professionnels du secteur de la pêche’’, a dit M. Diop à la presse pour tirer le bilan d’une expédition qui a conduit la délégation dans les plages de Goxu-Mbathie et Guet-Ndar.
Sur place où le constat de l’effectivité de l’immatriculation de la majorité des pirogues a été fait, M. Diop a expliqué que l’objectif de ce programme est d’obtenir ‘’une meilleure maîtrise de la ressource qui n’est pas intarissable’’.
‘’A terme, il faut qu’on arrive à maîtriser la flottille existante pour mieux formuler des politiques de développement dans ce secteur’’, a expliqué M. Diop faisant référence au danger de la surexploitation.
Rappelant que ce programme a démarré en 2006 en partenariat avec des bailleurs comme l’Union européenne, l’Espagne et la Banque mondiale, il dit que le secteur va en bénéficier ainsi que les générations futures.
Après le retrait des autres bailleurs, la Banque mondiale assure la continuité du programme qui va intégrer l’aspect géo-localisation’’, a indiqué le coordonnateur du programme.
‘’Au départ, les pirogues affichaient une certaine réticence mais une campagne de sensibilisation a permis de mieux faire accepter ce programme qui a connu une forte adhésion des professionnels du secteur’’, a déclar’ M. Diop.
‘’Les coûts de l’immatriculation sont pris en charge par l’Etat en raison de 3.000 f par l’unité et les GIE chargés d’exécuter ce programme ont même été rémunérés 4.000 f par pirogue pour les encourager’’, a souligne le coordonnateur du programme évalué à un 1,3 milliard de francs.
Avec l’immatriculation, la pirogue est dotée d’une puce électronique qui fournit tous les renseignements sur son propriétaire, son constructeur, sa capacité, le type de moteur, etc.
La mission d’évaluation, qui a débuté par Saint-Louis, se rendra dans les autres zones de pêche : Louga, Thiès, Dakar et Kaolack.
AMD/AD
‘’Nous avons pu constater sur place que le programme a été bien exécuté et bien accueilli par les professionnels du secteur de la pêche’’, a dit M. Diop à la presse pour tirer le bilan d’une expédition qui a conduit la délégation dans les plages de Goxu-Mbathie et Guet-Ndar.
Sur place où le constat de l’effectivité de l’immatriculation de la majorité des pirogues a été fait, M. Diop a expliqué que l’objectif de ce programme est d’obtenir ‘’une meilleure maîtrise de la ressource qui n’est pas intarissable’’.
‘’A terme, il faut qu’on arrive à maîtriser la flottille existante pour mieux formuler des politiques de développement dans ce secteur’’, a expliqué M. Diop faisant référence au danger de la surexploitation.
Rappelant que ce programme a démarré en 2006 en partenariat avec des bailleurs comme l’Union européenne, l’Espagne et la Banque mondiale, il dit que le secteur va en bénéficier ainsi que les générations futures.
Après le retrait des autres bailleurs, la Banque mondiale assure la continuité du programme qui va intégrer l’aspect géo-localisation’’, a indiqué le coordonnateur du programme.
‘’Au départ, les pirogues affichaient une certaine réticence mais une campagne de sensibilisation a permis de mieux faire accepter ce programme qui a connu une forte adhésion des professionnels du secteur’’, a déclar’ M. Diop.
‘’Les coûts de l’immatriculation sont pris en charge par l’Etat en raison de 3.000 f par l’unité et les GIE chargés d’exécuter ce programme ont même été rémunérés 4.000 f par pirogue pour les encourager’’, a souligne le coordonnateur du programme évalué à un 1,3 milliard de francs.
Avec l’immatriculation, la pirogue est dotée d’une puce électronique qui fournit tous les renseignements sur son propriétaire, son constructeur, sa capacité, le type de moteur, etc.
La mission d’évaluation, qui a débuté par Saint-Louis, se rendra dans les autres zones de pêche : Louga, Thiès, Dakar et Kaolack.
AMD/AD