Tambacounda, 11 sept (APS) - La phase test d’un an, du projet Initiative mondiale pour l’eau qui vise à réaliser des infrastructures hydrauliques et d’assainissement dans six villages des communautés rurales de Ndoga Babacar et Makacoulibantang prend fin en septembre, a annoncé jeudi, son coordonnateur Matar Ndao.
‘’Le projet a démarré en octobre 2008 et prendra fin en septembre 2009’’, a-t-il indiqué, précisant que la phase test d’une année du projet s’inscrit dans l’Initiative mondiale pour l’eau (Global Water Initiative, GWI en anglais). Le projet pilote cible les villages de Marcounda, Saré Pathé Gobel, Pathiab (CR de Ndoga Babacar), Walia Koban, Walia Samba Dème et Sandougoumana dans la CR de Makacolibantang.
‘’Notre vision, à long terme, est de toucher tous les villages qui se trouvent dans les deux communautés rurales pour régler les problèmes de l’accès l’eau et l’assainissement de ces localités’’, a dit M. Ndao, par ailleurs responsable régional de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Le GWI a prévu de réaliser 125 latrines dans les deux communautés rurales, de creuser deux puits neufs, réhabiliter trois autres puits, d’organiser des sessions d’animation et de formation sur l’hygiène et l’assainissement pour le changement de comportement dans les ménages.
Par rapport à la gestion intégrée des ressources en eau, il s’agit de permettre aux populations de profiter d’activités économiques rentables pour améliorer le niveau de vie des populations riveraine de la vallée de Sandougou.
‘’On va mettre l’accent sur des infrastructures, sur des comités de gestion, sur la participation des populations pour la gestion de la Sandougou pour la GIRE. Il en sera de même pour la gestion des puits pour leur pérennisation’’, a promis le coordonnateur.
Ce projet vise trois objectifs spécifiques que sont la promotion des cadres de concertation, notamment la mise en place d’une plateforme régionale de l’eau et de l’assainissement.
Il s’intéresse à la gestion intégrée des ressources en eau, à l’eau potable, à l’aménagement des surfaces afin de permettre aux populations de s’adonner à des activités agricoles, à la pêche, à l’élevage, etc. Cette forme de gestion vise, notamment, à la vallée de la Sandougou.
‘’Revitaliser la Sandougou, mettre des aménagements, impliquer les populations dans la gestion pour que les eaux soient utilisées de façon intégrée pour les activités agricoles, de pêche et d’élevage afin d’augmenter le niveau de revenus des ménages’’ constituent des axes de cette phase test.
S’y ajoute le fait de ‘’fournir de l’eau potable aux populations en faisant des puits hydrauliques et en faisant aussi des infrastructures sanitaires de base telles que les latrines’’, a expliqué M. Ndao, qui a relevé que le ‘’changement de comportement au niveau des ménages est souhaité’’, dans ce cadre.
‘’Le projet a démarré en octobre 2008 et prendra fin en septembre 2009’’, a-t-il indiqué, précisant que la phase test d’une année du projet s’inscrit dans l’Initiative mondiale pour l’eau (Global Water Initiative, GWI en anglais). Le projet pilote cible les villages de Marcounda, Saré Pathé Gobel, Pathiab (CR de Ndoga Babacar), Walia Koban, Walia Samba Dème et Sandougoumana dans la CR de Makacolibantang.
‘’Notre vision, à long terme, est de toucher tous les villages qui se trouvent dans les deux communautés rurales pour régler les problèmes de l’accès l’eau et l’assainissement de ces localités’’, a dit M. Ndao, par ailleurs responsable régional de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Le GWI a prévu de réaliser 125 latrines dans les deux communautés rurales, de creuser deux puits neufs, réhabiliter trois autres puits, d’organiser des sessions d’animation et de formation sur l’hygiène et l’assainissement pour le changement de comportement dans les ménages.
Par rapport à la gestion intégrée des ressources en eau, il s’agit de permettre aux populations de profiter d’activités économiques rentables pour améliorer le niveau de vie des populations riveraine de la vallée de Sandougou.
‘’On va mettre l’accent sur des infrastructures, sur des comités de gestion, sur la participation des populations pour la gestion de la Sandougou pour la GIRE. Il en sera de même pour la gestion des puits pour leur pérennisation’’, a promis le coordonnateur.
Ce projet vise trois objectifs spécifiques que sont la promotion des cadres de concertation, notamment la mise en place d’une plateforme régionale de l’eau et de l’assainissement.
Il s’intéresse à la gestion intégrée des ressources en eau, à l’eau potable, à l’aménagement des surfaces afin de permettre aux populations de s’adonner à des activités agricoles, à la pêche, à l’élevage, etc. Cette forme de gestion vise, notamment, à la vallée de la Sandougou.
‘’Revitaliser la Sandougou, mettre des aménagements, impliquer les populations dans la gestion pour que les eaux soient utilisées de façon intégrée pour les activités agricoles, de pêche et d’élevage afin d’augmenter le niveau de revenus des ménages’’ constituent des axes de cette phase test.
S’y ajoute le fait de ‘’fournir de l’eau potable aux populations en faisant des puits hydrauliques et en faisant aussi des infrastructures sanitaires de base telles que les latrines’’, a expliqué M. Ndao, qui a relevé que le ‘’changement de comportement au niveau des ménages est souhaité’’, dans ce cadre.