Tambacounda, 11 sept (APS) - La couverture en eau et assainissement des communautés rurales de la région de Tambacounda estimée entre 51% et 17% reste faible, a déclaré jeudi, l’adjoint au gouverneur.
‘’Bien que d’importants progrès aient été accomplis durant cette décennie pour améliorer l’accès à l’eau potable en milieu urbain, la couverture en eau et en assainissement dans les communautés rurales de la région de Tambacounda demeure faible et estimée par le Programme eau potable et assainissement pour le millénaire (PEPAM) à 51% pour l’accès à l’eau et 17% pour l’assainissement’’, a dit Abdourahmane Ndiaye lors d’un atelier destiné à mettre en place une plateforme régionale des acteurs de l’eau.
‘’Ces chiffres cachent des disparités entre les localités’’, a-t-il relevé.
L’Etat a donné de nouvelles orientations à la politique sectorielle de gestion de l’eau définie dans le PEPAM et le Plan d’action de gestion intégrée des ressources en eau (PAGIRE), afin de ‘’renverser ces tendances lourdes’’, a-t-il indiqué.
Le PEPAM est un ‘’cadre unifié qui regroupe toutes les actions menées par les organismes gouvernementaux, les organisations non gouvernementales et les communautés en vue d’atteindre les objectifs d’approvisionnement en eau et en assainissement dans le cadre des OMD’’, a-t-il fait remarquer.
Le PEPAM vise à porter d’ici 2015, le taux d’accès à l’eau de 64% à 82% en zone rurale et le taux de l’assainissement de 17% à 55% en milieu rural.
Le système de suivi-évaluation du PEPAM recommande fortement la mise en place de plateforme régionale pour la promotion de l’échange entre les différents acteurs. Le PAGIRE inclus dans le PEPAM, vise une gestion participative concertée et durable des ressources en eau tout en précisant que le PEPAM, a rappelé l’adjoint au gouverneur.
Les autorités travaillent depuis quatre mois avec une équipe restreinte à la mise en place d’un cadre de concertation sur l’eau et l’assainissement. Un recensement des acteurs est engagé. ‘’Mais j’avoue qu’il y a des blocages (…) à l’heure actuelle on est à 4 mois, il n’ y a que le GADEC qui a réagi’’, a-t-il regretté.
Il a jugé cette situation ‘’déplorable’’, au vu de la nécessité de fédérer les forces actives dans les secteurs en question. D’ailleurs, une plateforme est nécessaire dans d’autres domaines comme la santé, l’éducation, l’environnement, afin de mettre les intervenants dans une même dynamique.
‘’Bien que d’importants progrès aient été accomplis durant cette décennie pour améliorer l’accès à l’eau potable en milieu urbain, la couverture en eau et en assainissement dans les communautés rurales de la région de Tambacounda demeure faible et estimée par le Programme eau potable et assainissement pour le millénaire (PEPAM) à 51% pour l’accès à l’eau et 17% pour l’assainissement’’, a dit Abdourahmane Ndiaye lors d’un atelier destiné à mettre en place une plateforme régionale des acteurs de l’eau.
‘’Ces chiffres cachent des disparités entre les localités’’, a-t-il relevé.
L’Etat a donné de nouvelles orientations à la politique sectorielle de gestion de l’eau définie dans le PEPAM et le Plan d’action de gestion intégrée des ressources en eau (PAGIRE), afin de ‘’renverser ces tendances lourdes’’, a-t-il indiqué.
Le PEPAM est un ‘’cadre unifié qui regroupe toutes les actions menées par les organismes gouvernementaux, les organisations non gouvernementales et les communautés en vue d’atteindre les objectifs d’approvisionnement en eau et en assainissement dans le cadre des OMD’’, a-t-il fait remarquer.
Le PEPAM vise à porter d’ici 2015, le taux d’accès à l’eau de 64% à 82% en zone rurale et le taux de l’assainissement de 17% à 55% en milieu rural.
Le système de suivi-évaluation du PEPAM recommande fortement la mise en place de plateforme régionale pour la promotion de l’échange entre les différents acteurs. Le PAGIRE inclus dans le PEPAM, vise une gestion participative concertée et durable des ressources en eau tout en précisant que le PEPAM, a rappelé l’adjoint au gouverneur.
Les autorités travaillent depuis quatre mois avec une équipe restreinte à la mise en place d’un cadre de concertation sur l’eau et l’assainissement. Un recensement des acteurs est engagé. ‘’Mais j’avoue qu’il y a des blocages (…) à l’heure actuelle on est à 4 mois, il n’ y a que le GADEC qui a réagi’’, a-t-il regretté.
Il a jugé cette situation ‘’déplorable’’, au vu de la nécessité de fédérer les forces actives dans les secteurs en question. D’ailleurs, une plateforme est nécessaire dans d’autres domaines comme la santé, l’éducation, l’environnement, afin de mettre les intervenants dans une même dynamique.