Podor, 8 avr (APS) - Le ministre de l’Agriculture, Khadim Guèye, a affirmé, vendredi à Podor que d’ici trois à quatre ans les aménagements vont atteindre 200.000 hectares dans la vallée du fleuve Sénégal où beaucoup de projets sont en cours ou en phase d’étude avancée.
Actuellement les surfaces aménagées sont estimées à environ 75.000 hectares.
Le ministre qui s’exprimait au cours d’une visite des champs de tomates de Nianga dans le département de Podor a cité entre autres projets les 38.000 hectares d’aménagement prévus dans le cadre du Millenium Challenge Account (MCA) ainsi que d’autres programmes de 7.500 ha et de 2500 ha de pays partenaires du Sénégal dans le cadre du développement de l’agriculture.
‘’Ces aménagements vont nécessiter beaucoup de moyens financiers pour l’exploitation et la commercialisation’’, a dit M. Guèye qui a promis, pour accompagner ce processus en cours, l’implantation de magasins de stockage.
A ce propos d’ailleurs, l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public (AGETIP) attend de savoir les sites d’implantation pour construire 50 magasins dans la zone de la vallée qui va, selon le ministre de l’Agriculture, voir sa part dans les subventions en engrais et en semences augmentée.
’’Par rapport aux progrès enregistrés, la vallée reçoit une part négligeable des subventions et nous allons œuvrer à la revoir à la hausse’’, a ajouté Khadim Guèye, sans s’étendre sur le montant alloué actuellement encore moins sur les taux.
Il a rappelé l’existence de trois programmes d’acquisition de matériel agricole lourd pour encourager les producteurs de la vallée qui, selon lui, ont fait de réels progrès ces dernières années.
Il a souligné la volonté de l’Etat d’étendre les expériences de cultures maraichères aux autres régions comme Kolda et la zone centre en faisant appel à l’expertise des producteurs de la vallée.
‘’L’Etat cherche à financer de tels programmes avec les bailleurs’’, a dit le ministre de l’Agriculture qui a promis de mettre un terme aux difficultés d’évacuation des produits vécus par les producteurs de tomates.
Concernant la commercialisation de l’oignon, il a avancé une concertation entre les différents acteurs de la filière pour lui trouver une solution qui ne lèse pas les consommateurs.
AMD/AD
Actuellement les surfaces aménagées sont estimées à environ 75.000 hectares.
Le ministre qui s’exprimait au cours d’une visite des champs de tomates de Nianga dans le département de Podor a cité entre autres projets les 38.000 hectares d’aménagement prévus dans le cadre du Millenium Challenge Account (MCA) ainsi que d’autres programmes de 7.500 ha et de 2500 ha de pays partenaires du Sénégal dans le cadre du développement de l’agriculture.
‘’Ces aménagements vont nécessiter beaucoup de moyens financiers pour l’exploitation et la commercialisation’’, a dit M. Guèye qui a promis, pour accompagner ce processus en cours, l’implantation de magasins de stockage.
A ce propos d’ailleurs, l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public (AGETIP) attend de savoir les sites d’implantation pour construire 50 magasins dans la zone de la vallée qui va, selon le ministre de l’Agriculture, voir sa part dans les subventions en engrais et en semences augmentée.
’’Par rapport aux progrès enregistrés, la vallée reçoit une part négligeable des subventions et nous allons œuvrer à la revoir à la hausse’’, a ajouté Khadim Guèye, sans s’étendre sur le montant alloué actuellement encore moins sur les taux.
Il a rappelé l’existence de trois programmes d’acquisition de matériel agricole lourd pour encourager les producteurs de la vallée qui, selon lui, ont fait de réels progrès ces dernières années.
Il a souligné la volonté de l’Etat d’étendre les expériences de cultures maraichères aux autres régions comme Kolda et la zone centre en faisant appel à l’expertise des producteurs de la vallée.
‘’L’Etat cherche à financer de tels programmes avec les bailleurs’’, a dit le ministre de l’Agriculture qui a promis de mettre un terme aux difficultés d’évacuation des produits vécus par les producteurs de tomates.
Concernant la commercialisation de l’oignon, il a avancé une concertation entre les différents acteurs de la filière pour lui trouver une solution qui ne lèse pas les consommateurs.
AMD/AD