Saint-Louis, 7 mars (APS) - La première pierre d’un centre international de formation en riziculture sera posée au plus tard jeudi, à Ngalelle, un quartier périphérique de la ville de Saint-Louis (nord), a appris l’APS du promoteur du projet, le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice).
La pose de la première pierre du futur centre aura lieu en marge de l’assemblée générale d’AfricaRice, ouverte lundi à Saint-Louis, pour une durée de quatre jours.
D’un coût global de deux milliards de francs CFA, ce centre international se fixe comme objectif d’accroître le nombre et le niveau d’expertise des agents de vulgarisation, des chercheurs et des techniciens de la filière riz, indique AfricaRice, une organisation panafricaine active dans la recherche.
AfricaRice travaille à ‘’la réduction de la pauvreté et l’atteinte de la sécurité alimentaire en Afrique, par des activités de recherche, développement et partenariat’’.
Elle déclare vouloir ‘’améliorer la productivité et la rentabilité du secteur rizicole’’.
A l’occasion de l’assemblée générale, qui se poursuit jusqu’à jeudi, cette organisation dirigée par le Sénégalais Dr Papa Abdoulaye Seck ‘’abordera des questions liées à l’équipement, aux ressources humaines et à la formation des acteurs de la chaîne de valeur riz’’.
Le conseil des ministres d’AfricaRice a récemment exhorté ses membres à réfléchir à ‘’la question de la faible capacité de la recherche et de la vulgarisation rizicole’’.
AfricaRice s’est dotée d’un comité d’experts nationaux, qui est composé des directeurs généraux des instituts nationaux des 24 États membres de la structure.
Elle a été créée en 1971 par 11 États africains, pour promouvoir la recherche dans la culture du riz. Ses membres sont répartis entre l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique du Centre, l’Afrique de l’Est et l’Afrique du Nord.
AMD/ESF/AD
La pose de la première pierre du futur centre aura lieu en marge de l’assemblée générale d’AfricaRice, ouverte lundi à Saint-Louis, pour une durée de quatre jours.
D’un coût global de deux milliards de francs CFA, ce centre international se fixe comme objectif d’accroître le nombre et le niveau d’expertise des agents de vulgarisation, des chercheurs et des techniciens de la filière riz, indique AfricaRice, une organisation panafricaine active dans la recherche.
AfricaRice travaille à ‘’la réduction de la pauvreté et l’atteinte de la sécurité alimentaire en Afrique, par des activités de recherche, développement et partenariat’’.
Elle déclare vouloir ‘’améliorer la productivité et la rentabilité du secteur rizicole’’.
A l’occasion de l’assemblée générale, qui se poursuit jusqu’à jeudi, cette organisation dirigée par le Sénégalais Dr Papa Abdoulaye Seck ‘’abordera des questions liées à l’équipement, aux ressources humaines et à la formation des acteurs de la chaîne de valeur riz’’.
Le conseil des ministres d’AfricaRice a récemment exhorté ses membres à réfléchir à ‘’la question de la faible capacité de la recherche et de la vulgarisation rizicole’’.
AfricaRice s’est dotée d’un comité d’experts nationaux, qui est composé des directeurs généraux des instituts nationaux des 24 États membres de la structure.
Elle a été créée en 1971 par 11 États africains, pour promouvoir la recherche dans la culture du riz. Ses membres sont répartis entre l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique du Centre, l’Afrique de l’Est et l’Afrique du Nord.
AMD/ESF/AD