Kaolack, 31 jan (APS) – Des producteurs de maïs de huit régions du Sénégal, soutenus par le Projet croissance économique (PCE) de l'Agence des Etats-Unis d'Amérique pour le développement international (USAID), veulent mettre en place une fédération nationale pour faciliter leur accès au marché agro-industriel, a appris l'APS dudit projet, jeudi à Kaolack (Centre).
Ces producteurs vivant dans huit régions dont celles de Fatick, Kaffrine et Kaolack espèrent qu'en mettant en place une fédération, ils pourront augmenter la qualité et la quantité de la production de maïs et s'intégrer davantage au marché agro-industriel, selon Ousmane Fall, Directeur de la réforme des politiques agricoles au PCE.
La décision des producteurs de se retrouver dans une fédération a été prise à la suite d'une étude conduite par le PCE qui, après trois ans d’intervention dans la production de maïs, dans les régions concernées, s’est rendu compte qu'ils constituent le maillon le plus faible de la filière, à cause d'un mauvaise organisation, a expliqué M. Fall.
Il présidait un atelier sur l'organisation de la filière maïs dans les régions de Kaolack, Kaffrine et Fatick. D'autres ateliers se sont déjà tenus à Sédhiou, Ziguinchor, Kolda, Tambacounda et Kédougou, dans l'objectif d'élaborer un plan d'action et de ''valider le schéma'' d'organisation retenu par l’étude du PCE de l'USAID, selon M. Fall.
''Il est nécessaire d’accompagner la mise en place de structures opérationnelles, pérennes, fortes et dynamiques, pour rendre la chaîne de valeur maïs compétitive et durable'', a-t-il souligné.
Pour la présidente de l’Association des producteurs de maïs de la région de Kaolack, Gnima Dieyté, les producteurs doivent s’organiser en réseau pour développer la filière, faciliter l’accès au crédit, à des semences de qualité et d'autres intrants, pour avoir de meilleurs rendements.
La future fédération doit rendre les producteurs davantage ''crédibles'' auprès des pouvoirs publics, selon la présidente de cette association, qui revendique 820 membres.
PON/ESF
Ces producteurs vivant dans huit régions dont celles de Fatick, Kaffrine et Kaolack espèrent qu'en mettant en place une fédération, ils pourront augmenter la qualité et la quantité de la production de maïs et s'intégrer davantage au marché agro-industriel, selon Ousmane Fall, Directeur de la réforme des politiques agricoles au PCE.
La décision des producteurs de se retrouver dans une fédération a été prise à la suite d'une étude conduite par le PCE qui, après trois ans d’intervention dans la production de maïs, dans les régions concernées, s’est rendu compte qu'ils constituent le maillon le plus faible de la filière, à cause d'un mauvaise organisation, a expliqué M. Fall.
Il présidait un atelier sur l'organisation de la filière maïs dans les régions de Kaolack, Kaffrine et Fatick. D'autres ateliers se sont déjà tenus à Sédhiou, Ziguinchor, Kolda, Tambacounda et Kédougou, dans l'objectif d'élaborer un plan d'action et de ''valider le schéma'' d'organisation retenu par l’étude du PCE de l'USAID, selon M. Fall.
''Il est nécessaire d’accompagner la mise en place de structures opérationnelles, pérennes, fortes et dynamiques, pour rendre la chaîne de valeur maïs compétitive et durable'', a-t-il souligné.
Pour la présidente de l’Association des producteurs de maïs de la région de Kaolack, Gnima Dieyté, les producteurs doivent s’organiser en réseau pour développer la filière, faciliter l’accès au crédit, à des semences de qualité et d'autres intrants, pour avoir de meilleurs rendements.
La future fédération doit rendre les producteurs davantage ''crédibles'' auprès des pouvoirs publics, selon la présidente de cette association, qui revendique 820 membres.
PON/ESF