Ce séminaire de Saly prépare la Conférence des ministres africains de l’Environnement, convoquée sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) en vue de l’adoption d’une position commune pour les pays du continent noir.
Cette rencontre à été l’occasion pour Fatima Touré directrice de l’institut de l’énergie et de l’environnement pour la francophonie (Iepf), revenant sur les engagements de l’après 2012, d’affirmer que « les politiques d’adaptation et d’atténuation des impacts négatifs des changements climatiques doivent êtres dynamiques pour tous les secteurs et contribuer de manière efficiente à la politique de développement durable ».
Selon Mme Touré, qui intervenait à l’ouverture de l’atelier le mercredi 05 octobre dernier, l’initiative francophone climat et développement lancée depuis par l’Iepf s’inscrit dans une logique d’ouvrer pour la maîtrise et la gestion des impacts négatifs des changements climatiques en vue de contribuer de manière efficace au développement durable.
Pour elle, après la 13e conférence des parties de Bali, le tableau de bord de Copenhague 2009 est retenue. Il préconise l’atténuation, l’adaptation et le transfert de technologies. Une place primordiale est réservée particulièrement aux pays en voie de développement du fait de la vulnérabilité de ces dits pays qui, pour elle, ne fait plus l’objet d’un doute. Elle a illustré ses propos par la consignation des impacts négatifs dans différents rapports du groupe intergouvernemental d’étude sur le climat. En attestent les nombreuses catastrophes écologiques vécues dans différentes parties du monde. La directrice de l’Iepf n’a pas manqué de signaler le rôle important de Copenhague 2009 sur des engagements à prendre pour l’après Kyoto en 2012.
Et de poursuivre que la francophonie envisage d’accompagner des pays dans la mise en place de moyens logistiques et de structures entrant dans la dynamique d’exécution de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques et le Protocole de Kyoto. Elle a mis en relief le travail de renforcement des capacités des négociateurs sur les politiques d’adaptation aux changements climatiques dans des secteurs du développement économique et social.
C’est ainsi que le partenariat avec la France devait rendre possible, entre 2008 et 2009, l’étude et des échanges sur les secteurs de l’agriculture du bâtiment, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire. Il y a aussi les domaines de l’hydraulique, de la forêt, de l’énergie, du transfert de technologie et des transports.
M. Ndiawar, conseiller du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement a, quant à lui, qualifié de peu satisfaisant les résultats du premier Sommet mondial de la terre sur « la réduction des gaz à effet de serre » . d’où la nécessité de considérer et d’impliquer les sociétés développées, émetteurs pour l’essentiel, de ces gaz à effet de serre.
Sud Quotidien
Cette rencontre à été l’occasion pour Fatima Touré directrice de l’institut de l’énergie et de l’environnement pour la francophonie (Iepf), revenant sur les engagements de l’après 2012, d’affirmer que « les politiques d’adaptation et d’atténuation des impacts négatifs des changements climatiques doivent êtres dynamiques pour tous les secteurs et contribuer de manière efficiente à la politique de développement durable ».
Selon Mme Touré, qui intervenait à l’ouverture de l’atelier le mercredi 05 octobre dernier, l’initiative francophone climat et développement lancée depuis par l’Iepf s’inscrit dans une logique d’ouvrer pour la maîtrise et la gestion des impacts négatifs des changements climatiques en vue de contribuer de manière efficace au développement durable.
Pour elle, après la 13e conférence des parties de Bali, le tableau de bord de Copenhague 2009 est retenue. Il préconise l’atténuation, l’adaptation et le transfert de technologies. Une place primordiale est réservée particulièrement aux pays en voie de développement du fait de la vulnérabilité de ces dits pays qui, pour elle, ne fait plus l’objet d’un doute. Elle a illustré ses propos par la consignation des impacts négatifs dans différents rapports du groupe intergouvernemental d’étude sur le climat. En attestent les nombreuses catastrophes écologiques vécues dans différentes parties du monde. La directrice de l’Iepf n’a pas manqué de signaler le rôle important de Copenhague 2009 sur des engagements à prendre pour l’après Kyoto en 2012.
Et de poursuivre que la francophonie envisage d’accompagner des pays dans la mise en place de moyens logistiques et de structures entrant dans la dynamique d’exécution de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques et le Protocole de Kyoto. Elle a mis en relief le travail de renforcement des capacités des négociateurs sur les politiques d’adaptation aux changements climatiques dans des secteurs du développement économique et social.
C’est ainsi que le partenariat avec la France devait rendre possible, entre 2008 et 2009, l’étude et des échanges sur les secteurs de l’agriculture du bâtiment, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire. Il y a aussi les domaines de l’hydraulique, de la forêt, de l’énergie, du transfert de technologie et des transports.
M. Ndiawar, conseiller du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement a, quant à lui, qualifié de peu satisfaisant les résultats du premier Sommet mondial de la terre sur « la réduction des gaz à effet de serre » . d’où la nécessité de considérer et d’impliquer les sociétés développées, émetteurs pour l’essentiel, de ces gaz à effet de serre.
Sud Quotidien