‘’L’Afrique est considérée comme le continent le plus vulnérable aux changements climatiques. Il s’agit de voir comment le climat impacte sur le développement économique de l’Afrique pour pouvoir le comprendre’’, a affirmé M. Lô qui animait une conférence sur le thème : ’’l’Afrique face aux changements climatiques’’.
La rencontre s’est tenue en prélude à la 14ème conférence des parties de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, prévue du 1er au 12 décembre prochain en Pologne.
Henri Lô a expliqué que le continent africain contribue très peu au réchauffement global mais demeure la partie la plus vulnérable à ses conséquences. ‘’L’adaptation aux changements climatiques est une priorité pour l’Afrique’’.
‘’Nous avons une économie essentiellement rurale. Donc s’il y a un changement climatique qui renforce la variabilité, il y aura forcément une influence sur la production agricole’’, a indiqué l’administrateur du porogramme ’’Adaptation aux changements climatiques’’.
Il a ajouté que ‘’l’Afrique fait face depuis plusieurs décennies à une variabilité climatique qui pèse très lourdement sur les pays’’, relevant que l’incidence d’une telle variabilité c-limatique est remarquable sur les économies largement secouées du fait de leur épendance quasi structurelle au secteur primaire, tributaire des conditions climatiques.
‘’Dans un contexte en perpétuelle crise en Afrique, quel type de réponse devrait-on apporter aux changements climatiques ?’’ s’est interrogé le conférencier, relevant que le changement climatique n’est pas seulement un problème environnemental.
‘’C’est un problème économique et politique. Cela veut dire que les scientifiques, les politiques et les communautés doivent se mettre ensemble pour définir les réponses‘’, a-t-il suggéré.
L’expert a toutefois déploré des causes anthropiques liées à ce fléau climatique comme l’effet de serre avec une augmentation du réchauffement global sur le continent, les énergies fossiles, la déforestation, l’élevage des ruminants et l’agriculture extensive entres autres.
Ce qui, en conséquence, influe sur la baisse du ruissellement, l’humidité des sols, le niveau des cours d’eau, et la qualité des eaux.
‘’C’est pourquoi, explique-t-il, ACCA contribue au renforcement des capacités des scientifiques, décideurs africains et autres parties prenantes pour une adaptation aux changements climatiques’’.
La rencontre s’est tenue en prélude à la 14ème conférence des parties de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, prévue du 1er au 12 décembre prochain en Pologne.
Henri Lô a expliqué que le continent africain contribue très peu au réchauffement global mais demeure la partie la plus vulnérable à ses conséquences. ‘’L’adaptation aux changements climatiques est une priorité pour l’Afrique’’.
‘’Nous avons une économie essentiellement rurale. Donc s’il y a un changement climatique qui renforce la variabilité, il y aura forcément une influence sur la production agricole’’, a indiqué l’administrateur du porogramme ’’Adaptation aux changements climatiques’’.
Il a ajouté que ‘’l’Afrique fait face depuis plusieurs décennies à une variabilité climatique qui pèse très lourdement sur les pays’’, relevant que l’incidence d’une telle variabilité c-limatique est remarquable sur les économies largement secouées du fait de leur épendance quasi structurelle au secteur primaire, tributaire des conditions climatiques.
‘’Dans un contexte en perpétuelle crise en Afrique, quel type de réponse devrait-on apporter aux changements climatiques ?’’ s’est interrogé le conférencier, relevant que le changement climatique n’est pas seulement un problème environnemental.
‘’C’est un problème économique et politique. Cela veut dire que les scientifiques, les politiques et les communautés doivent se mettre ensemble pour définir les réponses‘’, a-t-il suggéré.
L’expert a toutefois déploré des causes anthropiques liées à ce fléau climatique comme l’effet de serre avec une augmentation du réchauffement global sur le continent, les énergies fossiles, la déforestation, l’élevage des ruminants et l’agriculture extensive entres autres.
Ce qui, en conséquence, influe sur la baisse du ruissellement, l’humidité des sols, le niveau des cours d’eau, et la qualité des eaux.
‘’C’est pourquoi, explique-t-il, ACCA contribue au renforcement des capacités des scientifiques, décideurs africains et autres parties prenantes pour une adaptation aux changements climatiques’’.