Les conclusions de la rencontre de Poznan ont été partagées avant-hier. Il a été retenu que les pays développés et ceux en voie de développement adoptent une vision commune de lutte contre le réchauffement climatique.
« Le processus d’adaptation est devenu fondamental. L’adaptation a un coût. Les pays émergents sont des émetteurs de gaz à effet de serre. Il faut que les pays proposent une vision commune de la convention sur le climat », explique l’ingénieur en environnement, Madeleine Sarr.
La crise économique, plaident les ministres de plus de 50 pays, ne doit pas être une entrave à l’allocation des fonds aux pays en voie de développement. La Suède s’est engagée à allouer 500 millions de dollars Us pour les trois années sur les mesures d’adaptation.
Les émissions dans le secteur du transport aérien international, sur le secteur de la foresterie, le rôle du marché ont aussi été au centre de la réflexion. Aujourd’hui, la lutte contre les effets du changement climatique a des conséquences sur tous les secteurs de l’activité économique. C’est pour cela que les intervenants ont jugé pertinent d’engager les populations dans cette lutte. « Il faut qu’on trouve des moyens pour faire une sensibilisation ciblée afin d’avoir plus de résultats », souligne le président du Comité national de lutte contre le changement climatique (Conac), El Hadji Mbaye Diagne.
Le député Khadim Guèye par ailleurs président de la commission Développement de l’Assemblée nationale, a axé son intervention sur l’enjeu de l’implication des populations dans cette bataille. « 90 % de nos populations ne connaissent pas les gaz à effet de serre. Il nous faut une sensibilisation des populations et avoir un même degré d’information pour le même degré d’engagement », a dit le député Khadim Guèye.
Le Soleil
« Le processus d’adaptation est devenu fondamental. L’adaptation a un coût. Les pays émergents sont des émetteurs de gaz à effet de serre. Il faut que les pays proposent une vision commune de la convention sur le climat », explique l’ingénieur en environnement, Madeleine Sarr.
La crise économique, plaident les ministres de plus de 50 pays, ne doit pas être une entrave à l’allocation des fonds aux pays en voie de développement. La Suède s’est engagée à allouer 500 millions de dollars Us pour les trois années sur les mesures d’adaptation.
Les émissions dans le secteur du transport aérien international, sur le secteur de la foresterie, le rôle du marché ont aussi été au centre de la réflexion. Aujourd’hui, la lutte contre les effets du changement climatique a des conséquences sur tous les secteurs de l’activité économique. C’est pour cela que les intervenants ont jugé pertinent d’engager les populations dans cette lutte. « Il faut qu’on trouve des moyens pour faire une sensibilisation ciblée afin d’avoir plus de résultats », souligne le président du Comité national de lutte contre le changement climatique (Conac), El Hadji Mbaye Diagne.
Le député Khadim Guèye par ailleurs président de la commission Développement de l’Assemblée nationale, a axé son intervention sur l’enjeu de l’implication des populations dans cette bataille. « 90 % de nos populations ne connaissent pas les gaz à effet de serre. Il nous faut une sensibilisation des populations et avoir un même degré d’information pour le même degré d’engagement », a dit le député Khadim Guèye.
Le Soleil