Un projet financé par le gouvernement canadien sera mis en œuvre dans la commune de Thiès et les communautés rurales de Fandène, Taïba Ndiaye et Notto Diobass, pour permettre aux populations de s’adapter aux impacts des changements climatiques, a appris l’Aps de bonne source.
Le projet est dénommé : ‘Plateforme d’information pour l’adaptation des communautés vulnérables aux changements climatiques (Infoclim)’ et vise à ‘aider les populations concernées à améliorer la nature des informations’, expliquent les promoteurs de cette initiative dans un communiqué. Il est présenté comme une ‘manière de lutter efficacement contre la pauvreté, la faim, la malnutrition, les maladies et la précarité’, et doit permettre, selon les promoteurs, de mettre à la disposition des populations bénéficiaires des outils capables de les aider à mieux s’adapter aux impacts des changements climatiques.
Infoclim travaille suivant ‘une approche’ qui vise essentiellement à travailler avec les producteurs (agriculteurs, éleveurs, horticulteurs), mais aussi les organisations communautaires de base, les Ong et les décideurs locaux, a expliqué Amadou Moctar Niang, directeur du Centre de suivi écologique du Sénégal. Selon M. Niang, le projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (Crdi) du gouvernement canadien.
Le projet travaillera avec plusieurs villages polarisés par les quatre collectivités locales ciblées dans la région de Thiès, avant d’être étendu à deux autres régions du pays. ‘Il s’agira d’un observatoire qui sera accessible aux acteurs locaux et nationaux, notamment le Comité national sur les changements climatiques du Sénégal (Comnacc)’, a ajouté Amadou Moctar Niang.
‘A Thiès, la sensibilisation va se poursuivre. Les populations, quant à elles, vont extérioriser la perception qu’elles ont des changements climatiques, identifier leurs préoccupations par rapport aux activités’, poursuit le communiqué. ‘Parmi les objectifs spécifiques, figurent en bonne place la mise en place d’un système de collecte, de traitement et de partage des informations sur les changements climatiques et leur influence sur la production agricole, les ressources naturelles, la santé et les conditions socio-économiques des populations’, explique la même source.
‘Il faut souligner l’intégration du volet changements climatiques dans les plans locaux de développement de ces collectivités locales. A cet effet, leurs représentants ont pris bonne note et se sont engagés à ne rien laisser au hasard pour sa prise en compte’, ajoute le communiqué, sans précision de la date de démarrage du projet.
(Aps)
Le projet est dénommé : ‘Plateforme d’information pour l’adaptation des communautés vulnérables aux changements climatiques (Infoclim)’ et vise à ‘aider les populations concernées à améliorer la nature des informations’, expliquent les promoteurs de cette initiative dans un communiqué. Il est présenté comme une ‘manière de lutter efficacement contre la pauvreté, la faim, la malnutrition, les maladies et la précarité’, et doit permettre, selon les promoteurs, de mettre à la disposition des populations bénéficiaires des outils capables de les aider à mieux s’adapter aux impacts des changements climatiques.
Infoclim travaille suivant ‘une approche’ qui vise essentiellement à travailler avec les producteurs (agriculteurs, éleveurs, horticulteurs), mais aussi les organisations communautaires de base, les Ong et les décideurs locaux, a expliqué Amadou Moctar Niang, directeur du Centre de suivi écologique du Sénégal. Selon M. Niang, le projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (Crdi) du gouvernement canadien.
Le projet travaillera avec plusieurs villages polarisés par les quatre collectivités locales ciblées dans la région de Thiès, avant d’être étendu à deux autres régions du pays. ‘Il s’agira d’un observatoire qui sera accessible aux acteurs locaux et nationaux, notamment le Comité national sur les changements climatiques du Sénégal (Comnacc)’, a ajouté Amadou Moctar Niang.
‘A Thiès, la sensibilisation va se poursuivre. Les populations, quant à elles, vont extérioriser la perception qu’elles ont des changements climatiques, identifier leurs préoccupations par rapport aux activités’, poursuit le communiqué. ‘Parmi les objectifs spécifiques, figurent en bonne place la mise en place d’un système de collecte, de traitement et de partage des informations sur les changements climatiques et leur influence sur la production agricole, les ressources naturelles, la santé et les conditions socio-économiques des populations’, explique la même source.
‘Il faut souligner l’intégration du volet changements climatiques dans les plans locaux de développement de ces collectivités locales. A cet effet, leurs représentants ont pris bonne note et se sont engagés à ne rien laisser au hasard pour sa prise en compte’, ajoute le communiqué, sans précision de la date de démarrage du projet.
(Aps)