Plus de 35 représentants des cellules éco-quartiers, des Services techniques municipaux, des conseils de quartier et des services déconcentrés de l’administration, ont planché, dans le cadre d’un séminaire de trois jours organisé à l’Hôtel de ville par les responsables de l’Agence de la propreté du Sénégal (Aprosen), sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour une gestion durable des déchets solides.
A l’issue de cet atelier de renforcement de capacités animé et supervisé par Pape Soulèye Sow, docteur en rudologie (gestion et traitement des déchets), les séminaristes devront démultiplier leurs connaissances au niveau de la base.
Pour le directeur de la communication et de l’information de l’Aprosen, Ousseynou Touré, cet atelier a été l’occasion pour les agents de Santé et ceux des services régionaux d’Hygiène et de l’Environnement, d’étudier toutes les questions liées à la gestion des déchets solides, liquides et biomédicaux qui sont souvent à l’origine des problèmes de santé publique.
L’organisation de ces ateliers dans toutes les régions, a-t-il précisé, entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan de formation de l’Aprosen recommandée par la stratégie nationale de gestion des déchets. Il s’agira, partout, de mettre l’accent sur le renforcement de capacité des acteurs à la base et la stratégie qu’il faudra mettre en œuvre pour une bonne gestion des déchets. Car, il ne suffit plus de ramasser simplement les déchets et de les mettre quelque part. Il nous faut désormais développer un système mixte et communautaire de gestion durable des déchets.
En partenariat avec les collectivités locales, a-t-il poursuivi, l’Aprosen a adopté une approche globale de gestion durable du cadre de vie, à travers la mise en œuvre d’un plan de formation.
Conformément aux recommandations de la stratégie nationale de gestion des déchets solides, a-t-il rappelé, le renforcement de capacités a été identifié comme un axe important dans l’avènement d’une gestion durable des déchets solides dans notre pays.
Au-delà de l’objectif général poursuivi, qui a été de disposer d’une masse critique afin de minimiser les risques liés à une mauvaise gestion des déchets solides, il s’agit de faire des relais, des acteurs opérationnels dotés d’outils efficaces pour la réduction de la dégradation du cadre de vie et ayant une capacitation relevée sur les questions relatives à la gestion des déchets solides au Sénégal.
Selon M. Touré, il s’agira dans cette dynamique, de faciliter la livraison d’informations relatives à l’amélioration du cadre de vie des populations, mais aussi de bénéficier, en retour, des autres formes d’intervention pour davantage optimiser les actions de l’Aprosen au sein des populations.
Le Soleil
A l’issue de cet atelier de renforcement de capacités animé et supervisé par Pape Soulèye Sow, docteur en rudologie (gestion et traitement des déchets), les séminaristes devront démultiplier leurs connaissances au niveau de la base.
Pour le directeur de la communication et de l’information de l’Aprosen, Ousseynou Touré, cet atelier a été l’occasion pour les agents de Santé et ceux des services régionaux d’Hygiène et de l’Environnement, d’étudier toutes les questions liées à la gestion des déchets solides, liquides et biomédicaux qui sont souvent à l’origine des problèmes de santé publique.
L’organisation de ces ateliers dans toutes les régions, a-t-il précisé, entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan de formation de l’Aprosen recommandée par la stratégie nationale de gestion des déchets. Il s’agira, partout, de mettre l’accent sur le renforcement de capacité des acteurs à la base et la stratégie qu’il faudra mettre en œuvre pour une bonne gestion des déchets. Car, il ne suffit plus de ramasser simplement les déchets et de les mettre quelque part. Il nous faut désormais développer un système mixte et communautaire de gestion durable des déchets.
En partenariat avec les collectivités locales, a-t-il poursuivi, l’Aprosen a adopté une approche globale de gestion durable du cadre de vie, à travers la mise en œuvre d’un plan de formation.
Conformément aux recommandations de la stratégie nationale de gestion des déchets solides, a-t-il rappelé, le renforcement de capacités a été identifié comme un axe important dans l’avènement d’une gestion durable des déchets solides dans notre pays.
Au-delà de l’objectif général poursuivi, qui a été de disposer d’une masse critique afin de minimiser les risques liés à une mauvaise gestion des déchets solides, il s’agit de faire des relais, des acteurs opérationnels dotés d’outils efficaces pour la réduction de la dégradation du cadre de vie et ayant une capacitation relevée sur les questions relatives à la gestion des déchets solides au Sénégal.
Selon M. Touré, il s’agira dans cette dynamique, de faciliter la livraison d’informations relatives à l’amélioration du cadre de vie des populations, mais aussi de bénéficier, en retour, des autres formes d’intervention pour davantage optimiser les actions de l’Aprosen au sein des populations.
Le Soleil