Le ministre d’Etat, ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, Ousmane Masseck Ndiaye, qui a présidé, hier à Dakar, la réunion du comité de pilotage du Programme national de développement local (Pndl), a réaffirmé la volonté et la détermination du gouvernement à faire du programme le seul et unique instrument de mise en œuvre de sa vision de développement local pour les années à venir.
Devant l’assistance, le ministre d’Etat a rappelé que « la mise en place du Pndl par l’Etat du Sénégal, s’est faite en relation avec les avancées significatives de notre politique de décentralisation et de développement local et conformément à l’évolution du contexte mondial et national ». S’expliquant sur le document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp) qui constitue, avec les Objectifs du millénaire pour le développement (Omd), les documents de référence de notre politique de développement, le ministre d’Etat a ajouté que « l’un des objectifs stratégiques du Dsrp, comme des Omd, est le renforcement du développement local par l’approfondissement de la décentralisation et de la bonne gouvernance locale ». « La stratégie, comme le programme, sont le fuit des réflexions très approfondies qui ont abouti à la formulation d’un certain nombre de propositions dans le sens d’apporter des solutions concrètes aux faiblesses aussi bien institutionnelles qu’infrastructurelles du processus de décentralisation et de développement local », a encore souligné le ministre d’Etat. Il a ajouté que « le Pndl, proposé par le gouvernement et accepté par tous les acteurs, se veut un nouveau cadre de référence et d’intervention plus cohérent et fédérateur permettant à tous les partenaires du Sénégal, conformément à l’esprit de la déclaration de Paris, de mieux insérer leurs interventions d’appui à la décentralisation et au développement local dans les stratégies et réformes enclenchées par le gouvernement ». Selon le ministre d’Etat, le Pndl a besoin pour se concrétiser d’être opérationnel sans délai, de son appropriation par ses bénéficiaires, mais aussi de l’appui et du soutien de tous les partenaires au développement. Aussi, le ministre a-t-il annoncé qu’après la Banque mondiale, première à intégrer le dispositif, et l’Allemagne des négociations très avancées sont en cours avec le Pnud et l’Espagne.
Auparavant, le nouveau secrétaire exécutif du Pndl, Samba Guèye, avait rappelé les actions mises en place depuis son installation. Selon M. Guèye, à la date du 31 mars, 265 conventions de financement ont été signées entre les collectivités locales pour un montant de plus de 10 milliards de FCfa et qu’actuellement plus de 7,5 milliards sont déjà virés dans les comptes et les micro-projets sont en cours d’exécution. Parmi les autres actions citées par M. Guèye on retient l’appui à la planification locale, le renforcement de capacités et le partenariat tissé avec le Pnud à travers le projet Padel/Pndl, la Gtz avec le Proddel et la coopération canadienne dont un projet est en formulation. Au nom des élus locaux, M. Habib Niass avait transmis le message du président Aly Lô.
Le Soleil
Devant l’assistance, le ministre d’Etat a rappelé que « la mise en place du Pndl par l’Etat du Sénégal, s’est faite en relation avec les avancées significatives de notre politique de décentralisation et de développement local et conformément à l’évolution du contexte mondial et national ». S’expliquant sur le document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp) qui constitue, avec les Objectifs du millénaire pour le développement (Omd), les documents de référence de notre politique de développement, le ministre d’Etat a ajouté que « l’un des objectifs stratégiques du Dsrp, comme des Omd, est le renforcement du développement local par l’approfondissement de la décentralisation et de la bonne gouvernance locale ». « La stratégie, comme le programme, sont le fuit des réflexions très approfondies qui ont abouti à la formulation d’un certain nombre de propositions dans le sens d’apporter des solutions concrètes aux faiblesses aussi bien institutionnelles qu’infrastructurelles du processus de décentralisation et de développement local », a encore souligné le ministre d’Etat. Il a ajouté que « le Pndl, proposé par le gouvernement et accepté par tous les acteurs, se veut un nouveau cadre de référence et d’intervention plus cohérent et fédérateur permettant à tous les partenaires du Sénégal, conformément à l’esprit de la déclaration de Paris, de mieux insérer leurs interventions d’appui à la décentralisation et au développement local dans les stratégies et réformes enclenchées par le gouvernement ». Selon le ministre d’Etat, le Pndl a besoin pour se concrétiser d’être opérationnel sans délai, de son appropriation par ses bénéficiaires, mais aussi de l’appui et du soutien de tous les partenaires au développement. Aussi, le ministre a-t-il annoncé qu’après la Banque mondiale, première à intégrer le dispositif, et l’Allemagne des négociations très avancées sont en cours avec le Pnud et l’Espagne.
Auparavant, le nouveau secrétaire exécutif du Pndl, Samba Guèye, avait rappelé les actions mises en place depuis son installation. Selon M. Guèye, à la date du 31 mars, 265 conventions de financement ont été signées entre les collectivités locales pour un montant de plus de 10 milliards de FCfa et qu’actuellement plus de 7,5 milliards sont déjà virés dans les comptes et les micro-projets sont en cours d’exécution. Parmi les autres actions citées par M. Guèye on retient l’appui à la planification locale, le renforcement de capacités et le partenariat tissé avec le Pnud à travers le projet Padel/Pndl, la Gtz avec le Proddel et la coopération canadienne dont un projet est en formulation. Au nom des élus locaux, M. Habib Niass avait transmis le message du président Aly Lô.
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