L’une des problématiques du développement local au Sénégal est l’absence de coproduction des acteurs de ce secteur. La rencontre initiée hier par la Banque mondiale avec les Ong de développement a été une occasion de passer en revue le Programme national de développement local (Pndl).
Selon M. Youssouf Touré, chargé de communication au programme national de développement local, l’un des axes majeurs du Pndl est « l’appui à la décentralisation, à la déconcentration et au développement local participatif ». M. Touré explique qu’il y a des contraintes qui persistent. En effet, le financement du développement local et l’incivisme fiscal créait des blocages dans le programme de développement local.
Par ailleurs, la faible compétence des acteurs dont les capacités pour piloter, coordonner, contrôler, planifier la mise en œuvre et le suivi-évaluation des projets, sont également des contraintes au programme. Les défis à relever pour l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement gravitent autour d’une meilleure articulation des stratégies sectorielles, l’allocation optimale de ressources, la levée des contraintes d’absorption, le suivi et l’évaluation des interventions.
Demba Baldé, chargé de programme du Pndl à la Banque mondiale, d’ajouter que le programme a couvert 321 communes rurales et 52 communes urbaines pour un projet qui est appelé à durer 5 ans. Le budget du programme est de 234 milliards de FCfa provenant d’un financement de l’Etat et d’un appui des partenaires au développement. 340 conventions ont été signées pour 13 milliards de FCfa.
Ledit programme a permis la centralisation et déconcentration de certaines activités touchant le développement local. Mais d’autres résultats sont encore attendus et ont trait à la mise à jour du cadre législatif et réglementaire, le financement du développement local,le renforcement des capacités, la communication, le suivi évaluation et l’ environnement. Rappelons que l’objectif du programme national de développement local est de contribuer à la réduction de la pauvreté. Les objectifs spécifiques tournent autour d’un meilleur accès aux besoins sociaux de base et des populations les plus pauvres aux activités génératrices de ressources.
Sud Quotidien
Selon M. Youssouf Touré, chargé de communication au programme national de développement local, l’un des axes majeurs du Pndl est « l’appui à la décentralisation, à la déconcentration et au développement local participatif ». M. Touré explique qu’il y a des contraintes qui persistent. En effet, le financement du développement local et l’incivisme fiscal créait des blocages dans le programme de développement local.
Par ailleurs, la faible compétence des acteurs dont les capacités pour piloter, coordonner, contrôler, planifier la mise en œuvre et le suivi-évaluation des projets, sont également des contraintes au programme. Les défis à relever pour l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement gravitent autour d’une meilleure articulation des stratégies sectorielles, l’allocation optimale de ressources, la levée des contraintes d’absorption, le suivi et l’évaluation des interventions.
Demba Baldé, chargé de programme du Pndl à la Banque mondiale, d’ajouter que le programme a couvert 321 communes rurales et 52 communes urbaines pour un projet qui est appelé à durer 5 ans. Le budget du programme est de 234 milliards de FCfa provenant d’un financement de l’Etat et d’un appui des partenaires au développement. 340 conventions ont été signées pour 13 milliards de FCfa.
Ledit programme a permis la centralisation et déconcentration de certaines activités touchant le développement local. Mais d’autres résultats sont encore attendus et ont trait à la mise à jour du cadre législatif et réglementaire, le financement du développement local,le renforcement des capacités, la communication, le suivi évaluation et l’ environnement. Rappelons que l’objectif du programme national de développement local est de contribuer à la réduction de la pauvreté. Les objectifs spécifiques tournent autour d’un meilleur accès aux besoins sociaux de base et des populations les plus pauvres aux activités génératrices de ressources.
Sud Quotidien