Dakar, 13 jan (APS) - La Direction des parcs nationaux (DPN) procédera mercredi au dénombrement des oiseaux d'eau, sur toute l'étendue du territoire, selon un communiqué reçu à l'APS.
"Le dénombrement est une activité majeure, qui joue un rôle important dans le suivi des oiseaux d’eau. Il permet d’estimer la taille des populations de chaque espèce d'oiseau d'eau", explique la DPN.
Les statistiques collectées alimenteront les banques de données nationales et internationales sur ce domaine, indique-t-elle, précisant qu'elles permettent d’évaluer les tendances des effectifs, la répartition de la population des oiseaux d'eau et son évolution.
"Les équipes chargées du dénombrement, composées des agents de la DPN, des agents de le Direction des aires marines protégées communautaires (DAMPC), d’ornithologues, d’éco-gardes et de volontaires sillonneront les zones humides" du pays, assure la DPN.
Le dénombrement se fera aussi sur la presqu'île du Cap-Vert, la Petite Côte, le Delta du Saloum et le Delta du Fleuve Sénégal, selon le communiqué.
"Les données de comptage sont donc à la base de l’inventaire du réseau des sites ornithologiques majeurs à protéger en priorité", souligne la DPN.
"Le comptage international des oiseaux d’eau a eu lieu pour la première fois en Europe, en 1967. D'abord sous les auspices du Bureau international de recherche sur la sauvagine (BIRS), puis du Bureau international de recherche sur les oiseaux d’eau et les zones humides (BIROE), et enfin de Wetlands International", rappelle-t-on de même source.
Le communiqué signale qu'au Sénégal, cette activité a démarré en 1989, sur les sites du Delta du Fleuve Sénégal.
FD/ESF
"Le dénombrement est une activité majeure, qui joue un rôle important dans le suivi des oiseaux d’eau. Il permet d’estimer la taille des populations de chaque espèce d'oiseau d'eau", explique la DPN.
Les statistiques collectées alimenteront les banques de données nationales et internationales sur ce domaine, indique-t-elle, précisant qu'elles permettent d’évaluer les tendances des effectifs, la répartition de la population des oiseaux d'eau et son évolution.
"Les équipes chargées du dénombrement, composées des agents de la DPN, des agents de le Direction des aires marines protégées communautaires (DAMPC), d’ornithologues, d’éco-gardes et de volontaires sillonneront les zones humides" du pays, assure la DPN.
Le dénombrement se fera aussi sur la presqu'île du Cap-Vert, la Petite Côte, le Delta du Saloum et le Delta du Fleuve Sénégal, selon le communiqué.
"Les données de comptage sont donc à la base de l’inventaire du réseau des sites ornithologiques majeurs à protéger en priorité", souligne la DPN.
"Le comptage international des oiseaux d’eau a eu lieu pour la première fois en Europe, en 1967. D'abord sous les auspices du Bureau international de recherche sur la sauvagine (BIRS), puis du Bureau international de recherche sur les oiseaux d’eau et les zones humides (BIROE), et enfin de Wetlands International", rappelle-t-on de même source.
Le communiqué signale qu'au Sénégal, cette activité a démarré en 1989, sur les sites du Delta du Fleuve Sénégal.
FD/ESF