Des élus formés à la gestion de l’information sur le changement climatique
Les élus et autres acteurs au niveau déconcentré de l’Etat suivent, depuis hier à Dakar, une séance d’information de deux jours sur les changements climatiques et leurs conséquences sur les collectivités et sur certaines décisions.
L’atelier qui réunit, depuis hier, les représentants des directions régionales de l’Environnement et des conseillers régionaux permettra de réduire cette responsabilité grandissante face aux nombreuses interrogations et incertitudes sur le changement climatique.
M. Babacar Diouf, coordonnateur du projet d’Intégration de l’adaptation au changement climatique dans le développement durable au Sénégal (Projet Intac) qui organise l’atelier, veut appuyer ses différents partenaires dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités.
A l’en croire, « il s’agit, à travers cette activité, de renforcer les capacités des acteurs au niveau des comités régionaux pour les aider à mieux comprendre et gérer les risques liés au changement climatique, afin de les intégrer dans les documents de programmation et de planification au niveau local ». « Donc, c’est bien d’une formation des formateurs qu’il s’agit », insiste-t-il. Il est aussi question de « servir de relais au projet pour atteindre les différents acteurs au niveau local », poursuit-il, tout en avançant que « c’est ce qui est recherché ».
Par ailleurs, M. Diouf souligne la nécessité « d’établir un débat d’échanges autour des concepts de base du changement climatique pour aboutir à un plan d’actions régional qui va permettre à chaque région partant de ses réalités de concrétiser tout ce qui est cristallisé, au niveau international, sur les négociations sur le climat ».
Durant les deux jours que va durer l’atelier, outre les termes et concepts relatifs au changement climatique, les élus et acteurs au niveau déconcentré comprendront mieux les outils d’analyse et d’intégration, les impacts et les manifestations du phénomène, les enjeux sur les négociations sur le climat et les différents fonds de lutte contre le changement climatique.
B.B.SANE
Le Soleil
L’atelier qui réunit, depuis hier, les représentants des directions régionales de l’Environnement et des conseillers régionaux permettra de réduire cette responsabilité grandissante face aux nombreuses interrogations et incertitudes sur le changement climatique.
M. Babacar Diouf, coordonnateur du projet d’Intégration de l’adaptation au changement climatique dans le développement durable au Sénégal (Projet Intac) qui organise l’atelier, veut appuyer ses différents partenaires dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités.
A l’en croire, « il s’agit, à travers cette activité, de renforcer les capacités des acteurs au niveau des comités régionaux pour les aider à mieux comprendre et gérer les risques liés au changement climatique, afin de les intégrer dans les documents de programmation et de planification au niveau local ». « Donc, c’est bien d’une formation des formateurs qu’il s’agit », insiste-t-il. Il est aussi question de « servir de relais au projet pour atteindre les différents acteurs au niveau local », poursuit-il, tout en avançant que « c’est ce qui est recherché ».
Par ailleurs, M. Diouf souligne la nécessité « d’établir un débat d’échanges autour des concepts de base du changement climatique pour aboutir à un plan d’actions régional qui va permettre à chaque région partant de ses réalités de concrétiser tout ce qui est cristallisé, au niveau international, sur les négociations sur le climat ».
Durant les deux jours que va durer l’atelier, outre les termes et concepts relatifs au changement climatique, les élus et acteurs au niveau déconcentré comprendront mieux les outils d’analyse et d’intégration, les impacts et les manifestations du phénomène, les enjeux sur les négociations sur le climat et les différents fonds de lutte contre le changement climatique.
B.B.SANE
Le Soleil
