Tambacounda, 19 sept (APS) - La deuxième phase du Programme Wula Nafaa de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) qui a déjà démarré, va s’étaler sur cinq ans pour un financement de 12 millions de dollars US et comporte des innovations importantes touchant notamment à l’amélioration de la bonne gouvernance des collectivités locales, a déclaré vendredi à Tambacounda le chef d’équipe.
John Heermans qui s’exprimait lors d’un point de presse, a ajouté que les nouveautés concernent aussi la gestion des organisations communautaires de base et la mise en œuvre des politiques et communication.
La deuxième phase a pris en compte ces nouveaux volets qui vont s’ajouter aux anciens comme droits et responsabilités et retombées économiques qui deviennent respectivement biodiversité, gestion des ressources naturelles et création de richesses, a indiqué M. Heermans.
Le chef d’équipe a dit que Wula Nafaa est un programme de l’USAID qui entre dans le cadre de deux accords d’objectifs stratégiques entre le gouvernement du Sénégal et l’agence.
L’objectif essentiel reste l’augmentation durable des activités du secteur privé génératrices de revenus dans des secteurs choisis, prestations locales de services améliorés et utilisation durable des ressources dans les zones ciblées.
Pour sa part, Babacar Salif Guèye, coordonnateur national du programme, a décliné l’objectif général du programme qui est de ’’contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement local durable en augmentant le revenu des producteurs ruraux et des communautés locales’’.
C’est pourquoi, a-t-il dit, l’accent est mis sur la responsabilisation des autorités locales et la promotion de la gestion décentralisée, intégrée et participative des ressources.
M. Guèye a signalé que le bilan de la première phase a été jugé satisfaisant eu égard aux nombreux acquis dans l’aménagement des forets, la création de retombées économiques pour les communautés (filières fonio, anacarde, madd, l’organisation et le renforcement des communautés dans la mise en place de mesures de gestion des ressources naturelles (conventions locales, plan d’aménagement et d’occupation des sols), le renforcement des capacités des collectivités locales, etc.
La problématique de la pêche maritime et de la gestion halieutique motive les interventions attendues dans la région de Fatick en partenariat avec WWF (Fonds mondial pour la nature), a-t-il souligné.
APS
John Heermans qui s’exprimait lors d’un point de presse, a ajouté que les nouveautés concernent aussi la gestion des organisations communautaires de base et la mise en œuvre des politiques et communication.
La deuxième phase a pris en compte ces nouveaux volets qui vont s’ajouter aux anciens comme droits et responsabilités et retombées économiques qui deviennent respectivement biodiversité, gestion des ressources naturelles et création de richesses, a indiqué M. Heermans.
Le chef d’équipe a dit que Wula Nafaa est un programme de l’USAID qui entre dans le cadre de deux accords d’objectifs stratégiques entre le gouvernement du Sénégal et l’agence.
L’objectif essentiel reste l’augmentation durable des activités du secteur privé génératrices de revenus dans des secteurs choisis, prestations locales de services améliorés et utilisation durable des ressources dans les zones ciblées.
Pour sa part, Babacar Salif Guèye, coordonnateur national du programme, a décliné l’objectif général du programme qui est de ’’contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement local durable en augmentant le revenu des producteurs ruraux et des communautés locales’’.
C’est pourquoi, a-t-il dit, l’accent est mis sur la responsabilisation des autorités locales et la promotion de la gestion décentralisée, intégrée et participative des ressources.
M. Guèye a signalé que le bilan de la première phase a été jugé satisfaisant eu égard aux nombreux acquis dans l’aménagement des forets, la création de retombées économiques pour les communautés (filières fonio, anacarde, madd, l’organisation et le renforcement des communautés dans la mise en place de mesures de gestion des ressources naturelles (conventions locales, plan d’aménagement et d’occupation des sols), le renforcement des capacités des collectivités locales, etc.
La problématique de la pêche maritime et de la gestion halieutique motive les interventions attendues dans la région de Fatick en partenariat avec WWF (Fonds mondial pour la nature), a-t-il souligné.
APS