Le ministère de l’environnement de la protection de la nature, des bassins de rétention et des lacs artificiels en partenariat avec la direction de l’environnement et des établissements classés tient depuis hier à Dakar un atelier de finalisation des nouveaux projets d’arrêtés relatifs à l’évaluation de l’environnementale et d’évaluation de la mise en œuvre du Pges et Pndl. Une rencontre qui a regroupé tous les acteurs du secteur. Aujourd’hui, la prise en compte de l’évaluation de l’environnementale pour tout projet de développement, est une exigence du code de l’environnement du Sénégal.
Toutefois, les participants à l’atelier reconnaissent que leur application pose problème. « Même si des modalités d’application pratiques ont renforcé les dispositions institutionnelles instituées, il convient de noter que des contraintes majeures freinent leur mise en œuvre correcte », font-ils remarquer.
Et de poursuivre qu’il a été relevé « des difficultés d’évaluer financièrement les mesures proposées par le plan de gestion environnemental (Pge) mais aussi l’absence de textes réglementant le contenu d’Evaluation Environnementale Stratégique (Ees) ou cadre de gestion environnementale et sociale (Cges), de l’analyse environnementale initiale (Aei) et de l’audit environnemental (Ai) ».
Selon les deux institutions, il urge maintenant de mettre en place un mécanisme qui pourrait atténuer les dégâts ou les corriger et « l’on comprend mieux l’urgence d’asseoir un dispositif renforcé avec la validation de nouveaux arrêtés qui complètent l’arsenal institutionnel déjà existant ».
Pour Samba Guèye, secrétaire exécutif du Pndl, « la prise en compte de la dimension environnementale est devenue un enjeu de développement, du fait notamment de la dégradation avancée des écosystèmes, mais également de la faible implication synergique des acteurs dans le suivi environnemental des investissements et la prévention des cadres de vie ». Et de poursuivre : « c’est pourquoi, Pndl, instrument de mise en œuvre de la stratégie de développement local, initié par les pouvoirs publics avec l’appui des partenaires au développement, a intégré cette dimension, d’ailleurs bien inscrite dans son accord de crédit ».
Dans le but de corriger ou d’atténuer les effets néfastes environnementaux, il a été noté un cadre de gestion environnementale et sociale (Cges) qui prévoit que toutes les mesures de gestion environnementale et sociale liées à la mise en œuvre du Pndl soient prises en conformité avec la législation environnementale sénégalaise et les politiques opérationnelle de la Banque Mondiale (Bm). Aussi, en rapport avec les services de l’Environnement et les Agences Régionales de Développement.
Sud Quotidien
Toutefois, les participants à l’atelier reconnaissent que leur application pose problème. « Même si des modalités d’application pratiques ont renforcé les dispositions institutionnelles instituées, il convient de noter que des contraintes majeures freinent leur mise en œuvre correcte », font-ils remarquer.
Et de poursuivre qu’il a été relevé « des difficultés d’évaluer financièrement les mesures proposées par le plan de gestion environnemental (Pge) mais aussi l’absence de textes réglementant le contenu d’Evaluation Environnementale Stratégique (Ees) ou cadre de gestion environnementale et sociale (Cges), de l’analyse environnementale initiale (Aei) et de l’audit environnemental (Ai) ».
Selon les deux institutions, il urge maintenant de mettre en place un mécanisme qui pourrait atténuer les dégâts ou les corriger et « l’on comprend mieux l’urgence d’asseoir un dispositif renforcé avec la validation de nouveaux arrêtés qui complètent l’arsenal institutionnel déjà existant ».
Pour Samba Guèye, secrétaire exécutif du Pndl, « la prise en compte de la dimension environnementale est devenue un enjeu de développement, du fait notamment de la dégradation avancée des écosystèmes, mais également de la faible implication synergique des acteurs dans le suivi environnemental des investissements et la prévention des cadres de vie ». Et de poursuivre : « c’est pourquoi, Pndl, instrument de mise en œuvre de la stratégie de développement local, initié par les pouvoirs publics avec l’appui des partenaires au développement, a intégré cette dimension, d’ailleurs bien inscrite dans son accord de crédit ».
Dans le but de corriger ou d’atténuer les effets néfastes environnementaux, il a été noté un cadre de gestion environnementale et sociale (Cges) qui prévoit que toutes les mesures de gestion environnementale et sociale liées à la mise en œuvre du Pndl soient prises en conformité avec la législation environnementale sénégalaise et les politiques opérationnelle de la Banque Mondiale (Bm). Aussi, en rapport avec les services de l’Environnement et les Agences Régionales de Développement.
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