Dans le sillage de la stratégie de réduction de la pauvreté au Sénégal, le programme national de développement local (Pndl) a entrepris la réalisation des infrastructures sociales de base dans les collectivités locales. Le département de Sédhiou devenu région en a bénéficié dans l’ensemble de ses vingt-trois communautés rurales. Les trois communes d’alors n’étaient pas éligibles car ne disposant pas de plan d’investissement communal révèle un membre proche de la direction de l’agence régionale de développement.
Ce programme national de développement local est l’instrument clé de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement local. La philosophie d’intervention repose sur une coproduction efficace des acteurs de la décentralisation et du développement local à travers la capitalisation des expériences, la consolidation des acquis et l’harmonisation des interventions. Dans cette dynamique de mise en œuvre, c’est la banque mondiale qui vient en appoint au projet de développement participatif.
Au niveau opérationnel, c’est l’Agence régionale de développement (Ard) qui est chargée, en tant que bras technique des trois ordres de collectivités locales, de l’animation du programme.
Les domaines d’intervention sont de trois ordres à savoir l’Education par des constructions et équipement scolaires, la santé par la réalisation de cases de santé et les points d’eau aussi bien pour l’alimentation que pour le cheptel.
« Les construction et équipements scolaires permettront de renforcer la motivation des populations à inscrire leurs enfants à l’école et à réduire les distances à parcourir pour les localités éloignées. Les puits pastoraux sont pour l’abreuvage du cheptel et les besoins en eau des populations. Et enfin, les cases de santé permettront à coup sûr de rapprocher davantage les soins de base aux populations », a dit Alassane Saïdou Sow le directeur de l’agence régionale de développement de Kolda et Sédhiou.
Dans cette région de Sédhiou, 22 micros projets sont en cours de réalisation en bloc de cases de santé dont 15 déjà réceptionnés, 32 dans le domaine de l’hydraulique dont 25 réceptionnés et 66 dans l’Education dont 45 réceptionnés. Le coût global de ces investissements s’élève à 769.795.260 F Cfa dont 40% de la banque mondiale et 10% de la collectivité locale bénéficiaire. La visite de terrain s’est effectuée à kandialon ayant obtenu un bloc de deux salles de classe, à Magnora II pour un puits alimentaire et à Koussy pour une case de santé.
Au nom des populations de cette dernière collectivité, Mariama Sylla a fait part de toute la satisfaction de ses concitoyens avant de souhaiter un renforcement de l’appui dans les constructions scolaires. A Koussy comme partout du reste ou la mission s’est rendue, le besoin d’appui substantiel se fait amplement sentir en atteste le niveau de pauvreté de ces localités de la moyenne Casamance.
Sud Quotidien
Ce programme national de développement local est l’instrument clé de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement local. La philosophie d’intervention repose sur une coproduction efficace des acteurs de la décentralisation et du développement local à travers la capitalisation des expériences, la consolidation des acquis et l’harmonisation des interventions. Dans cette dynamique de mise en œuvre, c’est la banque mondiale qui vient en appoint au projet de développement participatif.
Au niveau opérationnel, c’est l’Agence régionale de développement (Ard) qui est chargée, en tant que bras technique des trois ordres de collectivités locales, de l’animation du programme.
Les domaines d’intervention sont de trois ordres à savoir l’Education par des constructions et équipement scolaires, la santé par la réalisation de cases de santé et les points d’eau aussi bien pour l’alimentation que pour le cheptel.
« Les construction et équipements scolaires permettront de renforcer la motivation des populations à inscrire leurs enfants à l’école et à réduire les distances à parcourir pour les localités éloignées. Les puits pastoraux sont pour l’abreuvage du cheptel et les besoins en eau des populations. Et enfin, les cases de santé permettront à coup sûr de rapprocher davantage les soins de base aux populations », a dit Alassane Saïdou Sow le directeur de l’agence régionale de développement de Kolda et Sédhiou.
Dans cette région de Sédhiou, 22 micros projets sont en cours de réalisation en bloc de cases de santé dont 15 déjà réceptionnés, 32 dans le domaine de l’hydraulique dont 25 réceptionnés et 66 dans l’Education dont 45 réceptionnés. Le coût global de ces investissements s’élève à 769.795.260 F Cfa dont 40% de la banque mondiale et 10% de la collectivité locale bénéficiaire. La visite de terrain s’est effectuée à kandialon ayant obtenu un bloc de deux salles de classe, à Magnora II pour un puits alimentaire et à Koussy pour une case de santé.
Au nom des populations de cette dernière collectivité, Mariama Sylla a fait part de toute la satisfaction de ses concitoyens avant de souhaiter un renforcement de l’appui dans les constructions scolaires. A Koussy comme partout du reste ou la mission s’est rendue, le besoin d’appui substantiel se fait amplement sentir en atteste le niveau de pauvreté de ces localités de la moyenne Casamance.
Sud Quotidien