Fatick, 24 déc (APS) - La région de Fatick (centre) a été élue parmi les 50 collectivités du monde devant ‘’expérimenter’’ le Plan climat territorial intégré (PCTI), au terme de la Conférence de Copenhague sur les changements climatiques, a indiqué le président du Conseil régional de cette collectivité locale.
Coumba Ndoffène Bouna Diouf qui a participé à ce Sommet ‘’pour donner l’expérience de sa région et faire un plaidoyer par rapport aux changements climatiques’’, a expliqué mercredi que ‘’nous étions à Copenhague pour voir les voies et moyens de lutter contre les changements climatiques’’.
’’Nous ne devions pas tout attendre que le Nord vienne avec ses moyens et son expertise pour nous aider à lutter contre les changements climatiques. Donc nous avions eu le réflexe d’adaptation qui nous a poussé, dans le cadre du partenariat qui lie notre région avec Poitou-Charentes, à créer les conditions de mise en œuvre d’un programme de développement des énergies renouvelables’’, a déclaré M. Diouf.
Il a indiqué que ce programme exposé à Copenhague consiste d’abord ‘’créer les conditions de limiter la déforestation », en mettant en place les foyers améliorés qui injectent 60% de gaz de moins que la cuisson à l’air libre’’.
A ce niveau, a poursuivi M. Diouf, ‘’nous avons expérimenté les fours solaires avec lesquels nous avons des expériences qui font qu’aujourd’hui même des gâteaux sont cuits à partir de ces fours-là’’.
Il annoncé que ses services ont eu à créer également les conditions pour électrifier certains établissements scolaires qui ont besoin d’électricité par l’électrification solaire.
La participation du Conseil régional au Sommet de Copenhague, à travers le Projet de développement des énergies renouvelables (PRODER) lui a permis d’être éligible parmi les 50 collectivités devant expérimenter le Plan climat territorial intégré (PCTI).
Elle a également permis au conseil régional de bénéficier des fonds d’un million 200 dollars qui vont servir à la campagne de reboisement, à la restauration de la mangrove, à la démultiplication des foyers améliorés, des fours solaires, à la mise en défense des forêts et à la campagne de sensibilisation.
Coumba Ndoffène Bouna Diouf qui a participé à ce Sommet ‘’pour donner l’expérience de sa région et faire un plaidoyer par rapport aux changements climatiques’’, a expliqué mercredi que ‘’nous étions à Copenhague pour voir les voies et moyens de lutter contre les changements climatiques’’.
’’Nous ne devions pas tout attendre que le Nord vienne avec ses moyens et son expertise pour nous aider à lutter contre les changements climatiques. Donc nous avions eu le réflexe d’adaptation qui nous a poussé, dans le cadre du partenariat qui lie notre région avec Poitou-Charentes, à créer les conditions de mise en œuvre d’un programme de développement des énergies renouvelables’’, a déclaré M. Diouf.
Il a indiqué que ce programme exposé à Copenhague consiste d’abord ‘’créer les conditions de limiter la déforestation », en mettant en place les foyers améliorés qui injectent 60% de gaz de moins que la cuisson à l’air libre’’.
A ce niveau, a poursuivi M. Diouf, ‘’nous avons expérimenté les fours solaires avec lesquels nous avons des expériences qui font qu’aujourd’hui même des gâteaux sont cuits à partir de ces fours-là’’.
Il annoncé que ses services ont eu à créer également les conditions pour électrifier certains établissements scolaires qui ont besoin d’électricité par l’électrification solaire.
La participation du Conseil régional au Sommet de Copenhague, à travers le Projet de développement des énergies renouvelables (PRODER) lui a permis d’être éligible parmi les 50 collectivités devant expérimenter le Plan climat territorial intégré (PCTI).
Elle a également permis au conseil régional de bénéficier des fonds d’un million 200 dollars qui vont servir à la campagne de reboisement, à la restauration de la mangrove, à la démultiplication des foyers améliorés, des fours solaires, à la mise en défense des forêts et à la campagne de sensibilisation.