Tambacounda, 14 avr (APS) - L’Etat du Sénégal a entrepris un programme ambitieux de gestion des terres, dénommé projet de gestion durable des terres (GDT), a révélé jeudi, à Tambacounda, Samba Sow, chargé de la coordination intersectorielle dans le cadre de ce projet à l’Institut national de pédologie (INP).
L’objectif général visé par ce programme qui a démarré en 2010 pour une durée de trois ans, est de disposer d’une base de données actualisée et exhaustive sur les différentes approches, technologies et sur les acteurs, y compris les projets et programmes de gestion durable des terres mis en œuvre dans les différentes régions.
Cela s’inscrit dans la perspective de la formulation d’un cadre national d’investissement stratégique (CNIS/GDT) et de la mise en place d’un système d’information sur les approches et techniques de gestion durable des terres (GDT/SENCAT), a noté M. Sow, en marge d’un l’atelier de deux jours, sur la gestion durable des terres (GDT) organisé par l’INP.
La rencontre présidée par le Directeur régional du développement rural, Pierre Diouf, dans les locaux de son service, a enregistré la participation de l’ANCAR, du Cadre régional de concertation des ruraux (CRCR) et du service de l’Environnement.
‘’Ce programme a commencé par la mise en place d’un projet-pilote financé par le Fonds mondial pour l’environnement, avec l’appui de la Banque mondiale’’, a-t-il expliqué.
Samba Sow a estimé que la gestion durable des terres devrait être portée à l’échelle nationale et ‘’de façon pérenne’’. ‘’Tous ceux qui seront intéressés par la problématique de la dégradation des terres doivent être identifiés, afin de faire savoir leurs actions de tous les jours, leurs échecs et leurs résultats probants obtenus, pour que cela puisse être pris en compte dans la phase d’extension du projet’’, a dit le responsable de la coordination intersectorielle du programme.
Il a relevé la nécessité, pour y arriver, d’impliquer l’ensemble des acteurs.
BC/ADI/SAB
L’objectif général visé par ce programme qui a démarré en 2010 pour une durée de trois ans, est de disposer d’une base de données actualisée et exhaustive sur les différentes approches, technologies et sur les acteurs, y compris les projets et programmes de gestion durable des terres mis en œuvre dans les différentes régions.
Cela s’inscrit dans la perspective de la formulation d’un cadre national d’investissement stratégique (CNIS/GDT) et de la mise en place d’un système d’information sur les approches et techniques de gestion durable des terres (GDT/SENCAT), a noté M. Sow, en marge d’un l’atelier de deux jours, sur la gestion durable des terres (GDT) organisé par l’INP.
La rencontre présidée par le Directeur régional du développement rural, Pierre Diouf, dans les locaux de son service, a enregistré la participation de l’ANCAR, du Cadre régional de concertation des ruraux (CRCR) et du service de l’Environnement.
‘’Ce programme a commencé par la mise en place d’un projet-pilote financé par le Fonds mondial pour l’environnement, avec l’appui de la Banque mondiale’’, a-t-il expliqué.
Samba Sow a estimé que la gestion durable des terres devrait être portée à l’échelle nationale et ‘’de façon pérenne’’. ‘’Tous ceux qui seront intéressés par la problématique de la dégradation des terres doivent être identifiés, afin de faire savoir leurs actions de tous les jours, leurs échecs et leurs résultats probants obtenus, pour que cela puisse être pris en compte dans la phase d’extension du projet’’, a dit le responsable de la coordination intersectorielle du programme.
Il a relevé la nécessité, pour y arriver, d’impliquer l’ensemble des acteurs.
BC/ADI/SAB