Kaffrine, 21 juin (APS) - Des élus locaux de Kaffrine (centre) venus de différentes collectivités de la région ont démarré, mardi, une formation de deux jours sur la gestion des ressources naturelles et de l’environnement, a constaté le correspondant de l’APS.
Cet atelier de formation des élus est initié par le Projet de gestion et de restauration des terres dégradées du bassin arachidier (PROGERT) et la Cellule d’éducation et de formation en environnement (CEFE) du ministère de l’Environnement et de la Protection de la nature en collaboration avec le Conseil régional.
La formation est d’autant plus utile pour doter les élus de suffisamment de connaissances environnementales que la région de Kaffrine est sujette à de fortes dégradations de son environnement, a souligné l’expert en suivi-évaluation du projet, Tanor Meïssa Dieng.
Les forêts de la région sont fortement menacées, ses formations forestières connaissent d’importantes destructions, les pâturages se raréfient dans la zone qui accueillait jadis les éleveurs du Djoloff, a indiqué M. Dieng.
Les inondations fréquentes accélèrent la dégradation des terres et les élus locaux doivent en être conscients afin de cultiver le réflexe d’intégrer la dimension environnementale dans tous leurs plans locaux de développement, a estimé l’expert en suivi-évaluation du PROGERT.
Cet atelier permet de faire l’état des lieux des ressources naturelles de la région et d’amener les élus, à travers les thèmes aussi divers que la raréfaction de l’eau, les feux de brousse, la pérennisation de l’éducation environnementale, à poursuivre la sensibilisation à la base, selon Mame Yacine Guèye Mbengue, assistante à la CEFE.
Les impacts négatifs notés sur la nature depuis 30 ans appellent à agir sur l’homme, principal acteur du mal, pour redresser cette mauvaise tendance qui accentue fortement la situation de pauvreté particulièrement à l’intérieur du pays, a soutenu Mme Mbengue qui a souhaité l’élargissement chez les élus des résultats obtenus par sa cellule dans les écoles.
PON/SAB
Cet atelier de formation des élus est initié par le Projet de gestion et de restauration des terres dégradées du bassin arachidier (PROGERT) et la Cellule d’éducation et de formation en environnement (CEFE) du ministère de l’Environnement et de la Protection de la nature en collaboration avec le Conseil régional.
La formation est d’autant plus utile pour doter les élus de suffisamment de connaissances environnementales que la région de Kaffrine est sujette à de fortes dégradations de son environnement, a souligné l’expert en suivi-évaluation du projet, Tanor Meïssa Dieng.
Les forêts de la région sont fortement menacées, ses formations forestières connaissent d’importantes destructions, les pâturages se raréfient dans la zone qui accueillait jadis les éleveurs du Djoloff, a indiqué M. Dieng.
Les inondations fréquentes accélèrent la dégradation des terres et les élus locaux doivent en être conscients afin de cultiver le réflexe d’intégrer la dimension environnementale dans tous leurs plans locaux de développement, a estimé l’expert en suivi-évaluation du PROGERT.
Cet atelier permet de faire l’état des lieux des ressources naturelles de la région et d’amener les élus, à travers les thèmes aussi divers que la raréfaction de l’eau, les feux de brousse, la pérennisation de l’éducation environnementale, à poursuivre la sensibilisation à la base, selon Mame Yacine Guèye Mbengue, assistante à la CEFE.
Les impacts négatifs notés sur la nature depuis 30 ans appellent à agir sur l’homme, principal acteur du mal, pour redresser cette mauvaise tendance qui accentue fortement la situation de pauvreté particulièrement à l’intérieur du pays, a soutenu Mme Mbengue qui a souhaité l’élargissement chez les élus des résultats obtenus par sa cellule dans les écoles.
PON/SAB