Louga, 8 déc (APS) – L’Union des associations d’élus locaux (UAEL), en partenariat avec la coopération hollandaise, a ouvert, mardi à Louga, un atelier de trois jours pour amener la soixantaine d’élus invités à mieux prendre en charge l’environnement et la gestion des ressources naturelles, a constaté le correspondant de l’APS.
Venus des régions de Louga, Matam et Saint-Louis, la soixantaine d’élus locaux réunis au complexe Oumar Bongo dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de renforcement des capacités des acteurs locaux en environnement et gestion des ressources naturelles (PRECAE) devraient, à terme, mieux apprécier et exercer cette compétence transférée.
Le PRECAE, financé par les Pays-Bas, a pour ambition de former et de permettre aux élus de mieux comprendre le cadre juridique et institutionnel afin d’assurer le plein exercice de cette compétence transférée que sont l’environnement et les ressources naturelles, a indiqué M. Nicolas Ndiaye, représentant le président de l’UAEL, Alé Lo.
La prise en charge de la question environnementale est un enjeu et sa maîtrise constitue une impérieuse nécessité pour les collectivités locales qui veulent inscrire leurs actions dans un développement durable, a souligné M. Ndiaye.
Il a invité les élus à ériger en priorité dans leur politique quotidienne la question de la gestion des ressources naturelles, signalant que la Cellule d’appui aux élus, bras technique de l’UAEL, veut favoriser à travers cet atelier des échanges constructifs entre acteurs.
A la fin de cet atelier de trois jours, la soixantaine d’élus de Louga, Matam et Saint-Louis devraient pouvoir s’engager, par des actes concrets, dans la prise en charge des questions environnementales dans leur politique, a soutenu le formateur Cheikh Ba.
Selon M. Ba, la formation portera sur les modules que sont : le cadre d’exercice de la compétence, la prise en compte de l’environnement et la gestion des ressources naturelles dans les politiques et programmes de développement et les sources de revenus en matière de gestion de l’environnement. L’inspecteur départemental des Eaux et forêts, le commandant Sambou a, quant à lui, appelé les élus mieux appréhender le problème des changements climatiques et à davantage se préparer pour maîtriser les risques collatéraux.
Les collectivités locales sont invitées, dans les différentes brochures mises à disposition, à faire face aux défis que sont : la lutte contre l’érosion côtière, la gestion des déchets et des pollutions, les feux de brousse, la préservation de l’écosystème et la prise en compte de la dimension environnement dans les projets et programmes de développement.
PON/ASG
Venus des régions de Louga, Matam et Saint-Louis, la soixantaine d’élus locaux réunis au complexe Oumar Bongo dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de renforcement des capacités des acteurs locaux en environnement et gestion des ressources naturelles (PRECAE) devraient, à terme, mieux apprécier et exercer cette compétence transférée.
Le PRECAE, financé par les Pays-Bas, a pour ambition de former et de permettre aux élus de mieux comprendre le cadre juridique et institutionnel afin d’assurer le plein exercice de cette compétence transférée que sont l’environnement et les ressources naturelles, a indiqué M. Nicolas Ndiaye, représentant le président de l’UAEL, Alé Lo.
La prise en charge de la question environnementale est un enjeu et sa maîtrise constitue une impérieuse nécessité pour les collectivités locales qui veulent inscrire leurs actions dans un développement durable, a souligné M. Ndiaye.
Il a invité les élus à ériger en priorité dans leur politique quotidienne la question de la gestion des ressources naturelles, signalant que la Cellule d’appui aux élus, bras technique de l’UAEL, veut favoriser à travers cet atelier des échanges constructifs entre acteurs.
A la fin de cet atelier de trois jours, la soixantaine d’élus de Louga, Matam et Saint-Louis devraient pouvoir s’engager, par des actes concrets, dans la prise en charge des questions environnementales dans leur politique, a soutenu le formateur Cheikh Ba.
Selon M. Ba, la formation portera sur les modules que sont : le cadre d’exercice de la compétence, la prise en compte de l’environnement et la gestion des ressources naturelles dans les politiques et programmes de développement et les sources de revenus en matière de gestion de l’environnement. L’inspecteur départemental des Eaux et forêts, le commandant Sambou a, quant à lui, appelé les élus mieux appréhender le problème des changements climatiques et à davantage se préparer pour maîtriser les risques collatéraux.
Les collectivités locales sont invitées, dans les différentes brochures mises à disposition, à faire face aux défis que sont : la lutte contre l’érosion côtière, la gestion des déchets et des pollutions, les feux de brousse, la préservation de l’écosystème et la prise en compte de la dimension environnement dans les projets et programmes de développement.
PON/ASG