Djoudj (Saint-Louis), 15 avril (APS) - La France va renforcer son appui au Parc national des oiseaux du Djoudj (PNOD), a déclaré vendredi son ambassadeur, Nicolas Normand, signalant que cette action s’inscrit dans le projet de développement touristique (2011-2012) de l’Agence française de développement (AFD).
Ce projet estimé à 10 milliards de FCFA va intégrer le patrimoine naturel qui va permettre d’appuyer des sites comme le PNOD, le Parc de Gueumbeul ainsi que celui de la Langue de Barbarie, a indiqué le diplomate français.
Il était interrogé à l’occasion de la célébration du quarantième anniversaire du parc, dont le nichoir est confronté à des problèmes d’érosion. Le site est situé à 60 Km de Saint-Louis, dans le nord du Sénégal.
M. Normand a dit toute sa fierté de venir sur ce site où il a fait ses premiers pas, il y a quarante ans, au début du PNOD, alors qu’il était encore étudiant. Il a souligné avoir eu d’autres occasions de le visiter après.
Ce parc est un endroit d’intérêt mondial, indique l’ambassadeur de France qui rappelle son érection en patrimoine mondial par l’Unesco ainsi que son classement comme site protégé dans le cadre de la convention de Lamsar.
Il joue un rôle important pour la préservation des oiseaux européens qui viennent y séjourner en Europe, affirme M. Normand pour insister sur le caractère international du site qui reçoit des milliers d’espèces chaque année.
Il a salué les efforts de conservation de la population animalière ainsi que du maintien de la biodiversité, consentis par l’Etat du Sénégal avec l’appui de ses partenaires comme la France, les Pays-Bas, l’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN), etc.
Le directeur des Parcs nationaux, Mame Balla Guèye, a insisté sur la réussite de cette célébration avec la présence des autorités administratives locales et des diplomates de la France, des Pays-Bas, de l’UICN, etc.
Faisant un historique de l’installation de ce parc dans son site actuel, M. Guèye a rappelé que ‘’c’était difficile avec le déguerpissement des villages que cela avait enregistré mais, aujourd’hui, les populations environnantes récoltent les bienfaits de cette décision’’.
‘’Cette année avec les projets mis en place dans le cadre de la gestion participative, les 7 villages environnants ont eu à se partager 13 millions de FCFA constituant le bénéfice de leurs activités’’, a-t-il révélé notant que ‘’les sites protégés ne peuvent être gérés sans l’implication des populations environnantes’’.
AMD/SAB
Ce projet estimé à 10 milliards de FCFA va intégrer le patrimoine naturel qui va permettre d’appuyer des sites comme le PNOD, le Parc de Gueumbeul ainsi que celui de la Langue de Barbarie, a indiqué le diplomate français.
Il était interrogé à l’occasion de la célébration du quarantième anniversaire du parc, dont le nichoir est confronté à des problèmes d’érosion. Le site est situé à 60 Km de Saint-Louis, dans le nord du Sénégal.
M. Normand a dit toute sa fierté de venir sur ce site où il a fait ses premiers pas, il y a quarante ans, au début du PNOD, alors qu’il était encore étudiant. Il a souligné avoir eu d’autres occasions de le visiter après.
Ce parc est un endroit d’intérêt mondial, indique l’ambassadeur de France qui rappelle son érection en patrimoine mondial par l’Unesco ainsi que son classement comme site protégé dans le cadre de la convention de Lamsar.
Il joue un rôle important pour la préservation des oiseaux européens qui viennent y séjourner en Europe, affirme M. Normand pour insister sur le caractère international du site qui reçoit des milliers d’espèces chaque année.
Il a salué les efforts de conservation de la population animalière ainsi que du maintien de la biodiversité, consentis par l’Etat du Sénégal avec l’appui de ses partenaires comme la France, les Pays-Bas, l’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN), etc.
Le directeur des Parcs nationaux, Mame Balla Guèye, a insisté sur la réussite de cette célébration avec la présence des autorités administratives locales et des diplomates de la France, des Pays-Bas, de l’UICN, etc.
Faisant un historique de l’installation de ce parc dans son site actuel, M. Guèye a rappelé que ‘’c’était difficile avec le déguerpissement des villages que cela avait enregistré mais, aujourd’hui, les populations environnantes récoltent les bienfaits de cette décision’’.
‘’Cette année avec les projets mis en place dans le cadre de la gestion participative, les 7 villages environnants ont eu à se partager 13 millions de FCFA constituant le bénéfice de leurs activités’’, a-t-il révélé notant que ‘’les sites protégés ne peuvent être gérés sans l’implication des populations environnantes’’.
AMD/SAB