Le Pnud vient de renforcer la lutte contre la dégradation, la salinité des sols et l’érosion hydrique dans la région de Thiès, en finançant 4 projets pour une valeur de 92 millions Fcfa.
Après les travaux d’aména-gement des collines, celui des pâturages, la conservation des eaux, la restauration et la mise en valeur du terroir, entre autre, c’est un financement de plus de 92 millions Fcfa, avec une contrepartie des bénéficiaires, que le programme de micro financement du Fonds pur l’environnement mondial (Pmf/Fem/Pnud), a accordé à 4 zones, à savoir, le lac Talma, Baback, Ndeey et Yéba.
Le coordonnateur national du Fem, Oumar Wane, après s’être réjoui des résultats enregistrés dans le cadre du financement des autres projets confiés à l’Adrt/Gert, s’est appesanti sur la transparence et l’utilisation rationnelle de ces financements destinés à lutter contre la dégradation et la salinité des sols, l’érosion hydrique, la destruction voire la disparition des espèces, la gestion des écosystèmes, entre autre. Le cas du lac Talma est patent. En effet, ce site, qui faisait la fierté des populations environnantes, a presque perdu toute sa faune et sa flore. D’où la nécessité de lui donner son lustre d’antan. En tout cas, telle est l’ambition affichée par les bénéficiaires mais aussi le responsable de ce projet, le commandant Ibrahima Sambe.
La particularité du programme est qu’il participe à la lutte contre la pauvreté en ciblant particulièrement les femmes. Ces dernières reçoivent de petits financements leur permettant de s’orienter résolument vers des activités génératrices de revenus.
Abdourahmane SARR GONZALES
Le Soleil
Après les travaux d’aména-gement des collines, celui des pâturages, la conservation des eaux, la restauration et la mise en valeur du terroir, entre autre, c’est un financement de plus de 92 millions Fcfa, avec une contrepartie des bénéficiaires, que le programme de micro financement du Fonds pur l’environnement mondial (Pmf/Fem/Pnud), a accordé à 4 zones, à savoir, le lac Talma, Baback, Ndeey et Yéba.
Le coordonnateur national du Fem, Oumar Wane, après s’être réjoui des résultats enregistrés dans le cadre du financement des autres projets confiés à l’Adrt/Gert, s’est appesanti sur la transparence et l’utilisation rationnelle de ces financements destinés à lutter contre la dégradation et la salinité des sols, l’érosion hydrique, la destruction voire la disparition des espèces, la gestion des écosystèmes, entre autre. Le cas du lac Talma est patent. En effet, ce site, qui faisait la fierté des populations environnantes, a presque perdu toute sa faune et sa flore. D’où la nécessité de lui donner son lustre d’antan. En tout cas, telle est l’ambition affichée par les bénéficiaires mais aussi le responsable de ce projet, le commandant Ibrahima Sambe.
La particularité du programme est qu’il participe à la lutte contre la pauvreté en ciblant particulièrement les femmes. Ces dernières reçoivent de petits financements leur permettant de s’orienter résolument vers des activités génératrices de revenus.
Abdourahmane SARR GONZALES
Le Soleil