Saint-Louis, 26 oct (APS) - Le secrétaire général de la Commission nationale pour l’UNESCO, Aliou Ly, a insisté sur l’importance accordée par le Sénégal aux problèmes environnementaux auxquels sont confrontés les pays saharo-saharienne.
‘’A l’instar des pays d’Afrique et particulièrement ceux de la bande saharo sahélienne fortement affectés par les effets des changements climatiques et leurs corollaires sur les ressources naturelles, le Sénégal est aussi préoccupé par les problématiques de la dégradation des écosystèmes et de la perte de la biodiversité’’, a-t-il déclaré en marge d’un atelier sur la gestion communautaire de la biodiversité et son impact sur le développement durable des communautés locales.
Cette rencontre, a souligné M.Ly, s’inscrit en droite ligne de la décision des Nations unies de faire de l’année 2010 l’année internationale de la biodiversité.
L’analyse des facteurs déterminants dans les stratégies opérationnelles de conservation, de protection et de valorisation de la biodiversité, a-t-il poursuivi, met en exergue, à côté des paramètres liés à la variabilité climatique, l’impact anthropique sur cette biodiversité dont dépendent largement et le plus souvent les populations pour leurs besoins domestiques, notamment alimentaires, énergétiques et médicaux.
Il semble donc important, de l’avis de M. Ly, d’encadrer ces causes anthropiques majeures en agissant directement sur les populations locales, pour une prise de conscience et une appropriation plus affirmées de la dualité conservation de la biodiversité et développement durable".
La responsabilisation des collectivités locales et des populations elles-mêmes, a-t-il encore souligné, est incontournable dans la gestion des ressources naturelles et de la diversité biologique.
Cet atelier de trois jours permettra à 80 experts en environnement, représentants de collectivités locales, de l’union Internationale pour la conservation de la Nature (UICN), du Centre du suivi écologique (CSE), de l’Association des amis de la nature (ASAN), de plancher sur les voies et moyens à mettre en oeuvre pour mieux conserver la biodiversité au Sénégal.
AMD/ASG
‘’A l’instar des pays d’Afrique et particulièrement ceux de la bande saharo sahélienne fortement affectés par les effets des changements climatiques et leurs corollaires sur les ressources naturelles, le Sénégal est aussi préoccupé par les problématiques de la dégradation des écosystèmes et de la perte de la biodiversité’’, a-t-il déclaré en marge d’un atelier sur la gestion communautaire de la biodiversité et son impact sur le développement durable des communautés locales.
Cette rencontre, a souligné M.Ly, s’inscrit en droite ligne de la décision des Nations unies de faire de l’année 2010 l’année internationale de la biodiversité.
L’analyse des facteurs déterminants dans les stratégies opérationnelles de conservation, de protection et de valorisation de la biodiversité, a-t-il poursuivi, met en exergue, à côté des paramètres liés à la variabilité climatique, l’impact anthropique sur cette biodiversité dont dépendent largement et le plus souvent les populations pour leurs besoins domestiques, notamment alimentaires, énergétiques et médicaux.
Il semble donc important, de l’avis de M. Ly, d’encadrer ces causes anthropiques majeures en agissant directement sur les populations locales, pour une prise de conscience et une appropriation plus affirmées de la dualité conservation de la biodiversité et développement durable".
La responsabilisation des collectivités locales et des populations elles-mêmes, a-t-il encore souligné, est incontournable dans la gestion des ressources naturelles et de la diversité biologique.
Cet atelier de trois jours permettra à 80 experts en environnement, représentants de collectivités locales, de l’union Internationale pour la conservation de la Nature (UICN), du Centre du suivi écologique (CSE), de l’Association des amis de la nature (ASAN), de plancher sur les voies et moyens à mettre en oeuvre pour mieux conserver la biodiversité au Sénégal.
AMD/ASG