Dakar, 1er avr (APS) - L’implication des acteurs clés et la capacitation des agents forestiers sont nécessaires pour capitaliser et systématiser les acquis des expériences développées dans la lutte contre la dégradation des sols, selon le colonel El Hadj Macodou Diane, coordonnateur du projet de contrôle et de valorisation des terres dégradées.
Des expériences ont été développées avec la mise en œuvre de plusieurs projets de lutte contre la dégradation des sols, a rappelé El Hadj Macodou Diagne qui présentait, mardi, une communication sur le projet de renforcement des capacités pour le contrôle de la dégradation des terres et la promotion de leur valorisation dans les zones de sols dégradés (CODEVAL).
Mais ‘’il y a des limites qui ont été notées dans ces interventions comme la faible coordination des expériences dans le cadre de l’appui technique, la difficulté de pérennisation des acquis et la non duplication des acquis à l’échelle’’, a dit le forestier.
''La dégradation des sols dans les régions de Kaolack et Fatick produit des effets notamment la salinisation des terres, qui entraine une baisse de la production agricole'', a-t-il souligné.
‘’Le Sénégal se caractérise en général en matière de dégradation des sols, par une expansion des terres nues ou à faible couverte végétal, une salinisation et un affaiblissement des sols, des sols ayant une forte teneur en acide sulfurique, mais aussi des terres arables’’, a t-il fait savoir.
''Le projet de contrôle et de valorisation des terres dégradées intervient dans une centaine de villages de ces deux régions, fortement touchées par le phénomène de la dégradation qui couvre une superficie d’environ 0,98 million d’hectares'', a expliqué M. Diagne.
‘’Il s’agit de renforcer les capacités nécessaires des acteurs au contrôle de la dégradation des terres et à la promotion de leur valorisation’’, a indiqué M.Diagne.
''Des séminaires de formation seront destinés aux agents forestiers des régions de Fatick, de Kaolack, de Nioro pour une population d 60 mille habitants du milieu rural pour 20 sites pilotes'', a-t-il fait savoir.
‘’Sur le terrain, nous menons des activités de reboisement car ces régions sont très touchées par e phénomène de dégradation des terres comme la salinisation des sols, la perte des eaux entre autres’’, a dit le coordonnateur national.
Il a ajouté: ''Nous emmenons les populations à adopter de meilleures pratiques culturales qui leur permettent de lutter contre le ruissellement hydrique car, nous mettons en œuvre des activités pour faire face à ce fléau’’.
‘’Nous privilégions, en rapport avec les populations, la création de dispositifs pour lutter contre l’érosion notamment la mise en place de cordons pierreux et d’autres moyens’’, a expliqué El hadj Macodou Diagne.
SBS/OID/AD
Des expériences ont été développées avec la mise en œuvre de plusieurs projets de lutte contre la dégradation des sols, a rappelé El Hadj Macodou Diagne qui présentait, mardi, une communication sur le projet de renforcement des capacités pour le contrôle de la dégradation des terres et la promotion de leur valorisation dans les zones de sols dégradés (CODEVAL).
Mais ‘’il y a des limites qui ont été notées dans ces interventions comme la faible coordination des expériences dans le cadre de l’appui technique, la difficulté de pérennisation des acquis et la non duplication des acquis à l’échelle’’, a dit le forestier.
''La dégradation des sols dans les régions de Kaolack et Fatick produit des effets notamment la salinisation des terres, qui entraine une baisse de la production agricole'', a-t-il souligné.
‘’Le Sénégal se caractérise en général en matière de dégradation des sols, par une expansion des terres nues ou à faible couverte végétal, une salinisation et un affaiblissement des sols, des sols ayant une forte teneur en acide sulfurique, mais aussi des terres arables’’, a t-il fait savoir.
''Le projet de contrôle et de valorisation des terres dégradées intervient dans une centaine de villages de ces deux régions, fortement touchées par le phénomène de la dégradation qui couvre une superficie d’environ 0,98 million d’hectares'', a expliqué M. Diagne.
‘’Il s’agit de renforcer les capacités nécessaires des acteurs au contrôle de la dégradation des terres et à la promotion de leur valorisation’’, a indiqué M.Diagne.
''Des séminaires de formation seront destinés aux agents forestiers des régions de Fatick, de Kaolack, de Nioro pour une population d 60 mille habitants du milieu rural pour 20 sites pilotes'', a-t-il fait savoir.
‘’Sur le terrain, nous menons des activités de reboisement car ces régions sont très touchées par e phénomène de dégradation des terres comme la salinisation des sols, la perte des eaux entre autres’’, a dit le coordonnateur national.
Il a ajouté: ''Nous emmenons les populations à adopter de meilleures pratiques culturales qui leur permettent de lutter contre le ruissellement hydrique car, nous mettons en œuvre des activités pour faire face à ce fléau’’.
‘’Nous privilégions, en rapport avec les populations, la création de dispositifs pour lutter contre l’érosion notamment la mise en place de cordons pierreux et d’autres moyens’’, a expliqué El hadj Macodou Diagne.
SBS/OID/AD