Monsieur Cheikhou Cissé, le secrétaire général du ministre de l’intérieur, est revenu sur le contexte la rencontre de Mbodiène .A l’en croire, l’atelier reste le prolongement des rencontres sectorielles prévues dans le cadre de la mise en œuvre du programme de travail budgétaire annuel de la Dagat du ministère de l’intérieur en partenariat avec le programme national de développement local (Pndl) et la coopération luxembourgeoise dans sa composante Sen 023.
L’atelier est pour lui, un moment propice pour le renforcement, l’ancrage d’une harmonisation effective d’une part, la collaboration entre la décentralisation et la déconcentration d’autre part. Il voit la conférence d’harmonisation, le thème de la rencontre, comme, un outil indispensable pour la mise en œuvre des divers plans élaborés au niveau national.
La conférence d’harmonisation, de son avis, cherche à rendre plus efficace la mise en œuvre des programmes d’investissements de l’état et de la région, par la coordination et la mise en commun d’instruments de planification et du développement local.
Pour mieux étayer ses propos il s’en réfère à l’alinéa 2 de l’article 36 du code des collectivités locales qui stipule : « Le représentant de l’Etat réunit une conférence d’harmonisation au moins deux fois par an sur les programmes d’investissement de l’Etat et de la région. Le président du conseil régional ou son représentant y assiste de droit ».
La volonté affichée du législateur, ici selon ses propos ne définit pas les conditions et les modalités de mise en œuvre de la disposition. Il est relevé que depuis 1996, une conférence d’harmonisation ne s’est pas tenue, la rencontre de Mbodiène permet de combler cette lacune. Monsieur Samba Guèye, le secrétaire exécutif du Pndl a abordé avec la presse, la question des lacunes notées ou relevées. Il pense que la conférence d’harmonisation va combler une lacune, et, permettre aux différents acteurs, de travailler en synergie sur les doubles emplois, les redondances et les manquements de cohérence dans le développement des collectivités locales.
Le consultant Mamadou Diouf dans une note d’orientation sur la conduite à tenir par rapport à la conférence d’harmonisation a proposé des solutions dont la première est la tenue d’une évaluation administrative interne de projets et programmes d’investissements réalisés dans la région par l’état et la région, les collectivités locales. La seconde porte sur une évaluation de la réforme et son impact sur les populations. La troisième vise l’instauration d’un débat entre l’administration, la région, les services techniques, les projets et programmes et la société civile sur la conduite de la décentralisation. Il y a ajouté la l’évaluation des outils de planification mis en place et une évaluation des rôles et responsabilités des acteurs dans l’atteinte des objectifs des politiques publiques.
Sud Quotidien
L’atelier est pour lui, un moment propice pour le renforcement, l’ancrage d’une harmonisation effective d’une part, la collaboration entre la décentralisation et la déconcentration d’autre part. Il voit la conférence d’harmonisation, le thème de la rencontre, comme, un outil indispensable pour la mise en œuvre des divers plans élaborés au niveau national.
La conférence d’harmonisation, de son avis, cherche à rendre plus efficace la mise en œuvre des programmes d’investissements de l’état et de la région, par la coordination et la mise en commun d’instruments de planification et du développement local.
Pour mieux étayer ses propos il s’en réfère à l’alinéa 2 de l’article 36 du code des collectivités locales qui stipule : « Le représentant de l’Etat réunit une conférence d’harmonisation au moins deux fois par an sur les programmes d’investissement de l’Etat et de la région. Le président du conseil régional ou son représentant y assiste de droit ».
La volonté affichée du législateur, ici selon ses propos ne définit pas les conditions et les modalités de mise en œuvre de la disposition. Il est relevé que depuis 1996, une conférence d’harmonisation ne s’est pas tenue, la rencontre de Mbodiène permet de combler cette lacune. Monsieur Samba Guèye, le secrétaire exécutif du Pndl a abordé avec la presse, la question des lacunes notées ou relevées. Il pense que la conférence d’harmonisation va combler une lacune, et, permettre aux différents acteurs, de travailler en synergie sur les doubles emplois, les redondances et les manquements de cohérence dans le développement des collectivités locales.
Le consultant Mamadou Diouf dans une note d’orientation sur la conduite à tenir par rapport à la conférence d’harmonisation a proposé des solutions dont la première est la tenue d’une évaluation administrative interne de projets et programmes d’investissements réalisés dans la région par l’état et la région, les collectivités locales. La seconde porte sur une évaluation de la réforme et son impact sur les populations. La troisième vise l’instauration d’un débat entre l’administration, la région, les services techniques, les projets et programmes et la société civile sur la conduite de la décentralisation. Il y a ajouté la l’évaluation des outils de planification mis en place et une évaluation des rôles et responsabilités des acteurs dans l’atteinte des objectifs des politiques publiques.
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