Plaidoyer pour une ’’entente interrégionale’’ entre collectivités de la Casamance naturelle
Kolda, 29 août (APS) - Le président du Conseil régional de Kolda (sud), Fabouly Gaye, a plaidé pour la mise en place ’’très rapidement’’ d’une ’’entente interrégionale’’ entre les circonscriptions administratives de la région naturelle de Casamance pour prendre en charge les besoins des populations en matière de développement.
’’Nous devons aller très rapidement vers la création d’une entente interrégionale entre les collectivités locales de l’ancienne région naturelle de Casamance pour prendre en charge les besoins des populations en matière de Développement’’, a dit M. Gaye, samedi lors de la cérémonie de clôture du Programme d’appui au développement économique en Casamance (PADEC).
La région naturelle de Casamance est aujourd’hui divisée administrativement en trois : régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor Selon le président du Conseil régional de Kolda, ’’aucune collectivité locale ne peut prétendre assurer seule le développement de sa localité’’.
Dans le cadre de la Casamance, ’’je crois très sincèrement que cela est valable pour nous élus. C’est pourquoi je souhaite vivement la création d’une entente interrégionale pour répondre aux questions liées au développement dans nos collectivités locales’’, a-t-il souligné.
’’Si nous, élus locaux, voulons œuvrer pour le développement de nos mandants, nous devrons aller dans la même direction sur les questions qui touchent au développement local dans nos collectivités locales’’, a poursuivi Fabouly Gaye, estimant que les textes de la décentralisation leur donnent le pouvoir de prendre en charge le développement de leurs terroirs.
Pour sa part, l’adjoint au gouverneur chargé des affaires administratives, Amadou Lamine Guissé, venu présider la rencontre, a invité les responsables du PADEC à ’’davantage impliquer et sensibiliser les bénéficiaires du programme pour faciliter sa mise en œuvre et sa réussite dans toute sa zone d’intervention’’.
Le Programme d’appui au développement économique en Casamance qui interviendra dans les régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor pour une période de cinq ans, est un fruit de la coopération entre les gouvernements sénégalais et canadien.
Financé à hauteur de 8,5 milliards de francs, il compte contribuer à réduire de 50 % d’ici 2015 l’incidence de pauvreté dans les ménages sénégalais.
MG/ADC
’’Nous devons aller très rapidement vers la création d’une entente interrégionale entre les collectivités locales de l’ancienne région naturelle de Casamance pour prendre en charge les besoins des populations en matière de Développement’’, a dit M. Gaye, samedi lors de la cérémonie de clôture du Programme d’appui au développement économique en Casamance (PADEC).
La région naturelle de Casamance est aujourd’hui divisée administrativement en trois : régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor Selon le président du Conseil régional de Kolda, ’’aucune collectivité locale ne peut prétendre assurer seule le développement de sa localité’’.
Dans le cadre de la Casamance, ’’je crois très sincèrement que cela est valable pour nous élus. C’est pourquoi je souhaite vivement la création d’une entente interrégionale pour répondre aux questions liées au développement dans nos collectivités locales’’, a-t-il souligné.
’’Si nous, élus locaux, voulons œuvrer pour le développement de nos mandants, nous devrons aller dans la même direction sur les questions qui touchent au développement local dans nos collectivités locales’’, a poursuivi Fabouly Gaye, estimant que les textes de la décentralisation leur donnent le pouvoir de prendre en charge le développement de leurs terroirs.
Pour sa part, l’adjoint au gouverneur chargé des affaires administratives, Amadou Lamine Guissé, venu présider la rencontre, a invité les responsables du PADEC à ’’davantage impliquer et sensibiliser les bénéficiaires du programme pour faciliter sa mise en œuvre et sa réussite dans toute sa zone d’intervention’’.
Le Programme d’appui au développement économique en Casamance qui interviendra dans les régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor pour une période de cinq ans, est un fruit de la coopération entre les gouvernements sénégalais et canadien.
Financé à hauteur de 8,5 milliards de francs, il compte contribuer à réduire de 50 % d’ici 2015 l’incidence de pauvreté dans les ménages sénégalais.
MG/ADC
