En président solennellement la cérémonie de pose de 11 balises à Joal, le ministre d’Etat, ministre de l’Economie maritime, des Transports maritimes, de la Pêche et de la Pisciculture, a magnifié publiquement le « partenariat privilégié » entre l’Etat et Wwf/Wamer dans le cadre de la préservation des ressources halieutiques.
C’est une population de Joal-Fadiouth fortement mobilisée autour du quai de pêche et visiblement aux anges qui a assisté à la cérémonie marquant la matérialisation physique des limites de son Aire marine protégée (Amp).
En réalité, le balisage, comme l’a du reste rappelé le coordonnateur régional du Wwf, le Dr Papa Samba Diouf, rend fonctionnelle l’Amp puisque disposant déjà d’un comité gestion, d’un plan de gestion et d’aménagement et des moyens de surveillance.
A ce jour, Joal dispose de la deuxième Amp fonctionnelle après celle de Bamboung dans le Toubacouta. Ce qui a d’ailleurs inspiré le ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui estime que les 5 Aires marines protégées dont dispose le Sénégal (Joal, Saint-Louis, Kayar, Bamboung et Abéné) participent activement à juguler la crise du secteur stratégique de la pêche.
A titre d’exemple, il a été recensé 25 autres espèces deux ans après la création de l’Amp de Joal. Auparavant, 50 espèces étaient déjà recensées par les experts. Pour leur part, les acteurs locaux par la voix du président du comité de gestion, M. Abdou Karim Sall, ont publiquement salué la démarche participative initiée par Wwf, qui a procédé à une formation en techniques de co-gestion et à l’instauration de cours en éducation environnementale dans les 11 établissements scolaires de Joal.
Les Aires marines protégées jouent un rôle de premier plan dans le fonctionnement et la diversité des écosystèmes. Elles contribuent également à l’amélioration des rendements de la pêche. C’est conscient de ces avantages que le Sénégal a créé par décret présidentiel en date de novembre 2004, 5 Aires marines protégées d’une superficie totale de 1.030 km2. Afin de faciliter la fonctionnalité de l’Amp de Joal et son acceptation par tous les acteurs, Wwf a été très sensible à l’appel des senneurs de plage et des pêcheurs de crevettes au killi qui sont les premiers utilisateurs de l’Amp et dont les activités vont certainement connaître quelques restrictions.
Le Soleil
C’est une population de Joal-Fadiouth fortement mobilisée autour du quai de pêche et visiblement aux anges qui a assisté à la cérémonie marquant la matérialisation physique des limites de son Aire marine protégée (Amp).
En réalité, le balisage, comme l’a du reste rappelé le coordonnateur régional du Wwf, le Dr Papa Samba Diouf, rend fonctionnelle l’Amp puisque disposant déjà d’un comité gestion, d’un plan de gestion et d’aménagement et des moyens de surveillance.
A ce jour, Joal dispose de la deuxième Amp fonctionnelle après celle de Bamboung dans le Toubacouta. Ce qui a d’ailleurs inspiré le ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui estime que les 5 Aires marines protégées dont dispose le Sénégal (Joal, Saint-Louis, Kayar, Bamboung et Abéné) participent activement à juguler la crise du secteur stratégique de la pêche.
A titre d’exemple, il a été recensé 25 autres espèces deux ans après la création de l’Amp de Joal. Auparavant, 50 espèces étaient déjà recensées par les experts. Pour leur part, les acteurs locaux par la voix du président du comité de gestion, M. Abdou Karim Sall, ont publiquement salué la démarche participative initiée par Wwf, qui a procédé à une formation en techniques de co-gestion et à l’instauration de cours en éducation environnementale dans les 11 établissements scolaires de Joal.
Les Aires marines protégées jouent un rôle de premier plan dans le fonctionnement et la diversité des écosystèmes. Elles contribuent également à l’amélioration des rendements de la pêche. C’est conscient de ces avantages que le Sénégal a créé par décret présidentiel en date de novembre 2004, 5 Aires marines protégées d’une superficie totale de 1.030 km2. Afin de faciliter la fonctionnalité de l’Amp de Joal et son acceptation par tous les acteurs, Wwf a été très sensible à l’appel des senneurs de plage et des pêcheurs de crevettes au killi qui sont les premiers utilisateurs de l’Amp et dont les activités vont certainement connaître quelques restrictions.
Le Soleil