En prélude de la prochaine conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) qui sera organisée à Rio de Janeiro en juin, la commission nationale de développement durable (Cndd) s’est réuni avant-hier.Objectif : élaborer un plan d’action pour réussir les négociations durant la rencontre.
Le Sénégal ne compte pas faire de la figuration lors de la conférence onusienne Rio + 20 qui se tiendra dans la capitale brésilienne (Rio de Janeiro) en juin prochain. En effet, par la voie de la Commission nationale de développement durable (Cndd) du ministère de l’Environnement, notre pays compte mettre sur pied un plan de négociation. Cette initiative a pour but d’amener les pays riches à s’engager concrètement sur l’atteinte des objectifs de développement durable et le développement des économies vertes. Ce, en vue de permettre au Sénégal et à l’Afrique, en général, de bénéficier de soutien financier et technique pour mieux vivre de ces ressources naturelles. Ces préoccupations de l’Etat sénégalais ont été l’objet jeudi d’un atelier de mise à niveau organisé par la direction de l’environnement. Cette rencontre pilotée par la commission nationale de développement durable a enregistré la présence des ministères concernés et des organisations qui œuvrent pour la protection de la nature, d’experts et de techniciens en environnement et des élus locaux. Durant toute une journée, ces acteurs ont eu à évaluer le concept et les démarches de développement durable afin d’établir des stratégies de communication pouvant convaincre les décideurs à soutenir les projets de protection de l’environnement en Afrique. ‘L’Afrique est l’un des continents les plus riches en termes de ressources naturelles. Elle constitue un potentiel important de développement économique du continent. Seulement elle fait face à un manque de moyens criards pour assurer la protection de ces ressources. D’où notre intérêt à mettre sur pied des stratégies pouvant amener les bailleurs à nous soutenir davantage’, lance le chargé de la Cndd-Baba Dramé. C’est dans cette perspective, d’ailleurs, soutient-il que ‘la commission compte se réunir régulièrement pour dégager les meilleures initiatives à prendre lors de la conférence de Rio’.
Paule Kadja TRAORE
Walf Fadjri
Le Sénégal ne compte pas faire de la figuration lors de la conférence onusienne Rio + 20 qui se tiendra dans la capitale brésilienne (Rio de Janeiro) en juin prochain. En effet, par la voie de la Commission nationale de développement durable (Cndd) du ministère de l’Environnement, notre pays compte mettre sur pied un plan de négociation. Cette initiative a pour but d’amener les pays riches à s’engager concrètement sur l’atteinte des objectifs de développement durable et le développement des économies vertes. Ce, en vue de permettre au Sénégal et à l’Afrique, en général, de bénéficier de soutien financier et technique pour mieux vivre de ces ressources naturelles. Ces préoccupations de l’Etat sénégalais ont été l’objet jeudi d’un atelier de mise à niveau organisé par la direction de l’environnement. Cette rencontre pilotée par la commission nationale de développement durable a enregistré la présence des ministères concernés et des organisations qui œuvrent pour la protection de la nature, d’experts et de techniciens en environnement et des élus locaux. Durant toute une journée, ces acteurs ont eu à évaluer le concept et les démarches de développement durable afin d’établir des stratégies de communication pouvant convaincre les décideurs à soutenir les projets de protection de l’environnement en Afrique. ‘L’Afrique est l’un des continents les plus riches en termes de ressources naturelles. Elle constitue un potentiel important de développement économique du continent. Seulement elle fait face à un manque de moyens criards pour assurer la protection de ces ressources. D’où notre intérêt à mettre sur pied des stratégies pouvant amener les bailleurs à nous soutenir davantage’, lance le chargé de la Cndd-Baba Dramé. C’est dans cette perspective, d’ailleurs, soutient-il que ‘la commission compte se réunir régulièrement pour dégager les meilleures initiatives à prendre lors de la conférence de Rio’.
Paule Kadja TRAORE
Walf Fadjri